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Clivage siège–réseau : comment fluidifier la communication ?
Publié le 19 mars 2023
Dans un réseau de points de vente, la performance opérationnelle repose sur une communication fluide entre le siège et les équipes terrain. Pourtant, cette relation est souvent entravée par des incompréhensions, une surcharge d’informations et une exécution inégale. Fluidifier la communication devient alors un levier stratégique pour améliorer l’efficacité globale de l’enseigne.
DES PERCEPTIONS SOUVENT OPPOSÉES
DU CÔTÉ TERRAIN : DES SOLLICITATIONS MULTIPLES, PEU LISIBLE
- Trop de messages, pas assez de clarté : les informations descendent en masse, souvent sans hiérarchisation, ce qui rend leur application complexe.
- Un siège perçu comme déconnecté : les équipes magasin ont parfois le sentiment que les décisions sont prises sans prise en compte du terrain.
- Des outils inadaptés : entre e-mails, groupes WhatsApp ou appels, la communication n’est ni centralisée, ni traçable.
DU CÔTÉ SIÈGE : MANQUE DE VISIBILITÉ SUR L’EXÉCUTION
- Des consignes mal appliquées ou mal comprises : ce qui nuit à la cohérence du réseau.
- Des retours terrain fragmentaires : sans canal structuré, difficile d’avoir une vision claire des réalités locales.
- Un sentiment d’inefficacité : quand les opérations prennent du retard ou sont exécutées partiellement, c’est la performance qui en souffre.
FLUIDIFIER LA COMMUNICATION : 6 LEVIERS CONCRETS
- Mettre en place un canal unique et structuré
Centraliser les échanges dans un outil pensé pour les réseaux de points de vente permet de gagner en clarté, en traçabilité et en efficacité. - Adapter les messages à leurs destinataires
Le bon contenu, au bon moment, à la bonne personne : c’est le principe d’une communication ciblée. Cela évite la saturation et renforce l’impact. - Donner de la visibilité au siège sur le terrain
Suivi d’exécution, feedback direct, remontées automatisées : fluidifier la communication passe aussi par la transparence dans les deux sens. - Valoriser l’expression du terrain
En intégrant les retours des magasins, on détecte plus vite les irritants et on crée un sentiment d’écoute qui améliore l’adhésion. - Impliquer les relais de communication
Animateurs, responsables de secteur, référents magasin : ce sont des acteurs clés pour porter les messages et fluidifier les échanges. - Éviter les intermédiaires inutiles
Trop de filtres freinent l’information. Un outil dédié permet de raccourcir les circuits, sans perdre en pilotage ni en qualité d’exécution.
UNE CULTURE RÉSEAU ALIGNÉE, C’EST POSSIBLE
Fluidifier la communication, ce n’est pas juste mieux s’informer : c’est renforcer la coordination, l’efficacité et la confiance entre tous les niveaux du réseau. C’est aussi un préalable indispensable pour améliorer la performance opérationnelle, homogénéiser l’expérience client et sécuriser les résultats terrain.
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Newsletter réseau : 6 conseils pour plus d’impact
Publié le 23 avril 2021La newsletter réseau est un levier stratégique pour l’animation et la coordination des points de vente. Bien exploitée, elle structure l’information et renforce l’engagement des équipes terrain. Mais encore faut-il qu’elle soit réellement lue et intégrée aux actions opérationnelles.
Un pilier essentiel dans la communication réseau
Le jeudi est jour de newsletter pour la direction réseau. Une routine bien rodée : collecte des informations des services, validation du directeur réseau, intégration des visuels… tout semble en place. Mais une annonce de dernière minute vient perturber l’envoi : l’opération commerciale est repoussée, il faut ajuster la communication. Finalement, la newsletter partira avec un décalage.
En magasin, Mélanie, responsable du point de vente de la rue Sainte-Catherine, attendait les informations pour organiser son équipe. La newsletter tarde à arriver, elle cherche alors des précisions auprès de son directeur régional, qui, lui, relaie l’information via un groupe WhatsApp… Un schéma classique dans les réseaux : des outils non coordonnés, des informations dispersées et un manque de fluidité dans la transmission des messages.
Face à ces défis, comment transformer la newsletter en un véritable atout de performance pour le réseau ?
Voici 6 conseils pour structurer et maximiser son efficacité.
1. Structurer le contenu de la newsletter selon les priorités opérationnelles
Plutôt que d’organiser votre newsletter en fonction des services qui fournissent les informations, il est plus pertinent de classer les contenus selon leur degré d’urgence et d’importance pour le terrain. Une structuration efficace permet aux équipes de repérer en un coup d’œil les actions prioritaires et de s’organiser en conséquence. Il est conseillé d’avoir trois grandes catégories : les informations urgentes nécessitant une action immédiate, les sujets à planifier pour une mise en œuvre future, et enfin les informations générales qui ne requièrent pas d’action spécifique.
2. Diversifier les formats de votre newsletter pour maintenir l’attention
Le format de la newsletter joue un rôle essentiel dans son impact. Pour capter l’attention des équipes terrain, il est nécessaire de varier les supports en intégrant des vidéos explicatives, des infographies synthétiques ou encore des quiz interactifs. Une présentation dynamique facilite la compréhension et l’assimilation des informations tout en rendant la lecture plus engageante.
3. Rendre la lecture de la newsletter rapide et efficace
Les collaborateurs en magasin sont souvent pressés et privilégient la lecture rapide des messages essentiels. Il est donc crucial de mettre en avant la valeur ajoutée de chaque information dès le titre, de structurer les contenus avec des éléments visuels marquants, d’utiliser des puces pour faciliter la lecture et de mettre en gras les informations clés. Plus le message est clair et concis, plus il a de chances d’être pris en compte.
4. Ajuster la fréquence et le moment d’envoi
L’envoi d’une seule newsletter hebdomadaire contenant un trop grand nombre d’informations peut être contre-productif. Il est préférable d’adopter une approche plus segmentée en adaptant le rythme d’envoi aux besoins des équipes. Par exemple, une communication de début de semaine peut être axée sur la planification, tandis qu’un envoi en milieu de semaine peut être utilisé pour rappeler les actions en cours et partager des ajustements stratégiques.
5. Personnaliser les envois pour une meilleure pertinence
Plutôt que d’envoyer la même newsletter à tous les collaborateurs, il est recommandé d’adapter le contenu en fonction des destinataires. Un responsable de magasin, un vendeur et un franchisé n’ont pas les mêmes besoins d’information. En segmentant les audiences et en adressant des messages ciblés, on améliore la pertinence de la communication et on réduit le risque que la newsletter soit ignorée.
6. Analyser l’impact et optimiser en continu
Une newsletter efficace repose sur une analyse régulière de ses performances. Il est indispensable de suivre des indicateurs clés tels que le taux d’ouverture, le taux de lecture et l’engagement des destinataires. Ces données permettent d’ajuster le format, le contenu et le timing des envois pour améliorer continuellement l’efficacité de la communication.
La newsletter réseau ne doit pas être une simple transmission d’informations descendante, mais un véritable outil d’alignement et d’action pour le terrain. En optimisant la structuration des contenus, en variant les formats et en personnalisant les envois, elle devient un levier puissant pour améliorer la coordination et l’engagement des équipes.
L’objectif ? Maximiser l’efficacité de la communication tout en facilitant la mise en action sur le terrain.
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Publié le 25 mars 2021« Pourquoi mes franchisés ne lisent-ils pas leurs e-mails ? Pourquoi ne répondent-ils jamais ? » Ces interrogations reviennent fréquemment du côté des franchiseurs. Pourtant, elles ne sont que la partie émergée de l’iceberg. Derrière ce constat se cache une problématique plus profonde : celle de l’alignement des attentes entre l’enseigne et ses partenaires franchisés.
La communication au sein d’un réseau de franchise est souvent pensée selon une approche descendante, structurée autour de deux grands axes :
- Le partenariat stratégique – Une communication institutionnelle et à long terme visant à transmettre la vision de l’enseigne, à renforcer l’adhésion des franchisés et à garantir une cohérence de marque sur l’ensemble du réseau.
- L’animation et l’opérationnel – Une communication plus pragmatique, tournée vers l’efficacité terrain. Elle concerne la diffusion des informations produits, la mise en œuvre d’opérations commerciales, l’accompagnement sur les process ou encore la motivation des équipes locales.
La solution qui transforme la gestion du réseau Midas
Publié le 25 janvier 2021Midas est une enseigne de référence dans l’entretien et la réparation automobile, appartenant au groupe Mobivia. Présente en Europe à travers 750 garages, dont 360 en France (répartis entre 30 succursales et 330 franchises), elle s’appuie sur un modèle de franchise solide et éprouvé. En France, le réseau est structuré en deux grandes zones, chacune supervisée par des responsables de secteur qui encadrent entre 15 et 25 centres. Leur mission est double : accompagner les franchisés dans l’optimisation de leurs performances et garantir le respect des standards de qualité et des engagements de l’enseigne.
Cette approche repose sur une logique de partenariat étroit entre Midas et ses franchisés. L’objectif est clair : assurer la rentabilité et la pérennité des garages tout en garantissant une expérience client optimale. Comme le souligne Maxime Belmonte, Directeur des Projets, de l’Innovation et des Systèmes d’Information chez Midas :
« Midas est un vrai franchiseur, c’est notre métier. Nos franchisés sont des TPE, leur job c’est de s’occuper du client. »
Présent dans l’enseigne depuis 15 ans, dont 7 années en tant que Directeur des succursales Midas France, Maxime Belmonte joue aujourd’hui un rôle clé dans la modernisation et l’innovation du réseau. Il est notamment à l’origine du déploiement de Midaslink, la version Midas de l’application Idelink, qui a été mise en place en France, en Belgique et en Espagne. Un projet stratégique qui transforme la gestion opérationnelle et la communication au sein du réseau.
LE CONTEXTE INITIAL : UN BESOIN URGENT D’AMÉLIORER LA COMMUNICATION INTERNE
Midas a fait appel à Idelink pour répondre à deux défis majeurs liés à la communication et à l’engagement de son réseau de franchisés.
MIEUX COMMUNIQUER, PLUS EFFICACEMENT ET PLUS RAPIDEMENT
En tant que franchiseur, Midas doit non seulement informer ses équipes terrain, mais aussi recueillir leurs retours. Les franchisés, étant des entrepreneurs indépendants, doivent parfois donner leur accord sur certaines décisions stratégiques, comme la participation à des promotions ou l’utilisation d’outils CRM.
Le principal frein à cette communication était le manque de temps :
👉 Les franchisés sont des commerçants de terrain, souvent en interaction directe avec leurs clients. Résultat : seulement 15 % des e-mails envoyés étaient réellement lus.
👉 Les responsables de secteur se retrouvaient alors contraints de passer un temps considérable à relancer par téléphone, au détriment de leur rôle principal : accompagner les franchisés dans le développement de leur activité.
Le même problème se posait pour la diffusion de contenus stratégiques, comme les vidéos de formation ou les annonces internes. Celles-ci étaient hébergées sur l’intranet, mais peu de collaborateurs prenaient le temps de les consulter, faute d’un accès rapide et pratique depuis leur environnement de travail.
💬 Maxime Belmonte :« Nous avons besoin de leur retour sur plein de sujets. Un franchisé, son job, c’est le client, il n’est pas derrière ses mails. On avait beaucoup de mal à communiquer avec notre réseau, et les responsables de secteur devaient compenser en passant leur temps à relancer. Le mail n’est pas adapté. »
Face à ces enjeux, Midas devait trouver une solution plus fluide, plus interactive et mieux adaptée au quotidien de son réseau.
DIGITALISER LES ACHATS : DE L’EXCEL À UNE SOLUTION FLUIDE ET INTUITIVE
Lors du lancement de la centrale d’achats Midas, les commandes étaient initialement gérées par e-mail, via l’envoi de tableaux Excel aux franchisés. Ce système posait plusieurs problèmes majeurs :
> Un faible taux d’ouverture : 50 % des franchisés ne consultaient même pas les fichiers, tandis que d’autres les remplissaient avec du retard, rendant le traitement des commandes complexe et chronophage.
> Un process manuel source d’erreurs : la compilation des fichiers, leur vérification et leur intégration nécessitaient un travail supplémentaire, augmentant ainsi le risque d’omissions ou d’inexactitudes.
> Une offre parfois inadaptée aux besoins du terrain : certains produits ou promotions n’étaient pas personnalisables, ce qui ne prenait pas en compte les différences entre les garages en centre-ville et ceux situés en zone montagneuse, aux contraintes bien distinctes.
Pour fluidifier et optimiser ces échanges, Midas a déployé Midaslink en 2018, un projet qui continue d’évoluer et de s’enrichir au fil des années pour mieux répondre aux besoins du réseau.
DES RÉSULTATS CONCRETS ET UN DÉPLOIEMENT QUI S’ACCÉLÈRE
L’application Midaslink s’inscrit pleinement dans la logique de partenariat défendue par Midas : elle simplifie la vie des franchisés, tout en permettant à l’enseigne d’être plus réactive et performante.
📊 Des résultats mesurables dès les premières utilisations :
> En moins de 48h, la grande majorité du réseau répond désormais aux sondages.
>20 % du chiffre d’affaires de la centrale d’achat est réalisé via Midaslink, démontrant l’adoption rapide et l’efficacité de la plateforme.
💬 Maxime Belmonte : « Cela nous permet de faire des choses qui auraient été impossibles avant. Nous avons pu mettre en place des plans d’actions commerciaux et saisir des opportunités pour nos franchisés avec une rapidité inédite. Sans Midaslink, nous n’aurions jamais pu aller aussi vite. Aujourd’hui, on communique plus et plus facilement. »
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Faut-il libérer ou structurer l’information dans les réseaux de points de vente ?
Publié le 24 septembre 2020L’information est le pilier de la performance des réseaux de points de vente. Elle conditionne la coordination, l’harmonisation des pratiques et l’efficacité des opérations sur le terrain. Cependant, la manière dont cette information circule est un équilibre subtil à trouver : un contrôle excessif engendre des frustrations et une rigidité contre-productive, tandis qu’une diffusion trop libre peut mener à la confusion et à une perte de maîtrise du message. Alors, comment arbitrer entre structuration et autonomie informationnelle ?
La révolution des messageries instantanées : gain ou illusion de fluidité ?
L’avènement des messageries instantanées a bouleversé les modes de communication dans les réseaux de points de vente. Fini les e-mails formels avec d’interminables listes de destinataires en copie, remplacés par des groupes WhatsApp ou Telegram permettant une interaction instantanée et désinhibée. L’avantage est indéniable : réactivité, engagement, rapidité. Mais ces outils sont-ils vraiment adaptés à la communication structurée dont un réseau a besoin ?
Prenons un exemple concret : imaginez une annonce concernant une animation commerciale à déployer dans 30 magasins via un groupe WhatsApp. Combien de messages faudra-t-il envoyer avant d’avoir la certitude que l’information a été comprise dans son intégralité ? Qui a lu le message ? Qui est concerné ? Combien de discussions annexes, réactions ou questions vont-elles diluer le message initial ?
Déployons maintenant cette même communication à l’échelle d’un réseau national. La multiplication des messages, l’enchevêtrement des réponses et l’absence de traçabilité font rapidement perdre le contrôle. En résumé, une information diffusée sans structuration devient une information bruit, inefficace et difficilement exploitable.
Structurer sans brider : un enjeu stratégique
L’objectif n’est pas d’opposer un modèle ouvert à un modèle rigide, mais de définir un cadre dans lequel l’information circule efficacement tout en restant maîtrisée.
1. Centraliser et hiérarchiser les canaux de communication
Toutes les informations ne se valent pas. Une stratégie efficace repose sur une segmentation des canaux en fonction du type de communication :
- Opérationnelle et critique : informations descendantes structurées via une plateforme dédiée garantissant traçabilité et accès ciblé.
- Collaborative et participative : messageries instantanées ou forums internes pour favoriser l’échange et le partage de bonnes pratiques.
- Formative et référentielle : bases de connaissances accessibles en self-service pour limiter la redondance des demandes et accélérer l’autonomie.
2. Assurer la diffusion et la compréhension
Structurer l’information ne signifie pas la figer. Une information doit être :
- Diffusée au bon moment et à la bonne cible, en évitant la surcharge informationnelle.
- Suivie et mesurée, grâce à des indicateurs de lecture et d’engagement.
- Clarifiée et contextualisée, avec un accès facile aux détails si besoin.
3. Automatiser et démocratiser l’accès à l’information
Les solutions digitales actuelles permettent de structurer sans rigidifier. L’intégration d’outils comme Idelink permet de diffuser les bonnes informations aux bonnes personnes, en garantissant une accessibilité optimale, une traçabilité précise et une interaction maîtrisée.
Les clés pour une communication efficace dans un réseau
1. Libérez la communication
Favorisez la cohésion et l’entraide en utilisant des applications de messagerie ou des réseaux sociaux d’entreprise. Les échanges transversaux permettent de réduire le sentiment de solitude et renforcent l’intelligence collective. Encouragez ces interactions pour les décisions non urgentes afin d’améliorer l’adhésion et la compréhension. Un mode de communication ouvert favorise l’engagement des équipes et crée de la proximité entre collaborateurs.
2. Donnez accès à l’information
Évitez la perte de temps liée à la recherche d’une information noyée dans une messagerie ou une boîte mail. Une plateforme dédiée avec une arborescence claire et intuitive (comme un intranet ou une base de connaissances) permet un accès rapide et structurant aux données nécessaires.
3. Pilotez les informations critiques
L’une des pires pratiques pour la communication terrain reste la dépendance aux e-mails. Un outil adapté à la mobilité est primordial pour les équipes en points de vente. Une notification push est, par exemple, lue en moyenne 1h26 avant un email.
- Ciblez vos destinataires pour éviter l’infobésité tout en impliquant les animateurs, qui garantissent la mise en place effective.
- Multipliez les supports pour capter l’attention : photos, quiz, vidéos, sondages… diversifiez les formats pour rendre l’information plus attractive et engageante.
4. Structurez les remontées terrain
Facilitez et standardisez les remontées d’information pour obtenir des réponses exploitables plus rapidement. L’utilisation de sondages réguliers permet d’objectiver les décisions et de les rendre plus acceptables en les basant sur des données collectives.
Une information plurielle et stratégique
L’information dans un réseau de points de vente n’est pas monolithique, elle est multiple et répond à des besoins variés. Elle peut être celle qui se partage et qui se discute, celle qui mène à l’action, celle que d’autres voudraient avoir ou encore celle dont certains ont besoin, mais pas vous. La clé d’une gestion efficace de l’information repose sur un équilibre entre structuration et libération. Une diffusion trop libre risque de créer du bruit informationnel, tandis qu’un encadrement excessif peut nuire à la réactivité et à l’engagement des équipes. Il est donc essentiel d’identifier quelles informations doivent être ouvertes et collaboratives, et lesquelles nécessitent un cadre précis pour garantir leur pertinence et leur impact. Une gestion maîtrisée de l’information permet ainsi d’éviter le chaos et l’infobésité, tout en optimisant la performance du réseau.
L’information dans un réseau de points de vente n’est pas monolithique, elle est multiple :
- Celle qui se partage et qui se discute,
- Celle qui mène à l’action,
- Celle que d’autres voudraient avoir,
- Et celle dont certains ont besoin, mais pas vous.
La clé d’une gestion efficace de l’information réside dans un dosage judicieux entre structuration et libération. Savoir quelles informations doivent être partagées librement et lesquelles doivent être encadrées est essentiel pour éviter le chaos informationnel et l’infobésité.
Lire la suite...Digitalisation des points de vente : les clés d’un changement efficace
Publié le 31 août 2020
La digitalisation des points de vente est devenue une nécessité face aux nouveaux enjeux du commerce. Pourtant, son adoption varie considérablement d’une enseigne à l’autre et d’un outil à l’autre. Trouver la bonne solution technologique est un premier défi, mais la rendre efficace auprès des équipes en est un autre, souvent sous-estimé.
Vous avez identifié un outil digital qui promet d’améliorer la gestion terrain, de libérer du temps aux équipes et d’optimiser l’expérience client. Pourtant, après son déploiement, l’enthousiasme initial laisse place à l’indifférence, voire à la résistance. Pourquoi ce blocage ? Le problème ne vient pas toujours de l’outil lui-même, mais bien de la façon dont le changement est perçu et accompagné.
DE LA PERCEPTION DU BESOIN À L’ADHÉSION DES ÉQUIPES
La réussite de la digitalisation des points de vente dépend largement de la perception du besoin par les équipes concernées.
> Douleur latente vs douleur identifiée : Si le problème à résoudre n’est pas clairement ressenti par les équipes, l’intérêt pour le changement sera faible. En revanche, si la problématique est bien identifiée, l’adoption sera plus naturelle.
> La courbe d’adoption de l’innovation : Selon Geoffrey Moore (Crossing the Chasm), seuls 16% des utilisateurs sont naturellement enclins à adopter une innovation. La majorité (68%) doit être convaincue progressivement, et une minorité (16%) restera réfractaire.
SURMONTER LA RÉSISTANCE AU CHANGEMENT
La courbe du changement (modèle de Kübler-Ross) illustre les étapes émotionnelles que traverse un utilisateur face à une nouveauté : déni, colère, marchandage, tristesse, acceptation. Pour réussir la transition, il est essentiel d’agir sur deux leviers :
> Le temps : Annoncer et préparer le changement en amont permet d’éviter un rejet brutal. Il faut d’abord sensibiliser les équipes à la problématique avant même de parler de la solution.
> La confiance : Un changement sera mieux accepté s’il est porté par des relais de confiance proches des utilisateurs finaux (managers terrain, early adopters).
Les personnes qui lancent un projet d’innovation sont eux-mêmes souvent des innovateurs et des visionnaires. Leur goût pour la nouveauté, combiné à une douleur identifiée, peuvent s’avérer être un handicap car 16% des personnes concernées par le changement vont leur faire un retour fantastique ! Les 16% réfractaires vont également se faire entendre, mais seront cantonnés au rôle de râleurs.
Et les 68% restants ? Ce sont eux qui devraient être la vraie cible des attentions. Leur silence ne vaut pas pour acceptation. Leur vécu, leurs habitudes et leur résilience peuvent même être contre-productifs dans ce cas précis. Comment les aider à comprendre et accepter ce changement ?
COURBE DU CHANGEMENT : PASSER DE LA RÉSISTANCE A L’ACCEPTATION.
Cette courbe de Kübler Ross, également appelée courbe du deuil, décrit toutes les étapes par lesquelles un utilisateur passe pour accepter un changement. Le but n’est pas ici de passer par-dessus certaines étapes mais de raccourcir le temps entre 2 étapes et d’éviter de rester bloqué sur l’une d’elle afin que le lancement de la solution intervienne lors de la phase d’acceptation.
LES ÉTAPES ESSENTIELLES POUR UNE DIGITALISATION DES POINTS DE VENTE RÉUSSIE
1. Sensibiliser tôt pour préparer les équipes
La communication initiale doit créer un électrochoc en mettant en avant le problème actuel et la nécessité d’évolution. L’objectif ? Faire émerger une prise de conscience collective.
2. Co-construire la diffusion avec des relais
Même si la solution ne peut pas toujours être développée en interne, son déploiement doit impliquer les équipes. Un groupe pilote (mêlant early adopters et pragmatiques) peut tester l’outil et définir la meilleure approche de communication.
3. Mobiliser les managers comme relais de confiance
Les managers jouent un rôle clé. Une formation préalable leur permettra d’accompagner leurs équipes et de légitimer le changement.
4. Supprimer les alternatives pour éviter le marchandage
L’une des résistances courantes au changement est la tentation de garder l’ancienne méthode en parallèle. Il est donc crucial d’être clair dès le début : la nouvelle solution remplacera définitivement.
5. Adapter la communication à chaque phase
- Phase 1 : Sensibilisation sur le problème
- Phase 2 : Présentation de la solution avec des démonstrations concrètes
- Phase 3 : Lancement avec des tutoriels et un accompagnement renforcé
- Phase 4 : Suivi post-lancement pour ancrer les usages et célébrer les succès
6. Consolider l’adoption et mesurer l’impact
Une fois la solution en place, il est essentiel de suivre son utilisation et d’intervenir auprès des points de vente les moins engagés. La célébration des premiers succès contribue à inscrire durablement le changement dans la culture de l’entreprise. Nous aurions pu intégrer un septième point. Oubliez que vous aviez déjà fonctionné autrement mais il faut bien garder quelques surprises (idéalement des bonnes !) Ne pensez pas que c’est parce qu’une solution est intuitive que la conduite du changement en est pour autant optionnelle : le frein ne repose pas dans la technologie de la solution mais dans la prise de conscience du problème.
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Donner vie aux points hebdomadaires en points de vente
Publié le 9 juin 2020De l’indicateur à l’impact : transformer les données en leviers opérationnels
À chaque axe stratégique correspondent des indicateurs clés. Le rôle de l’animateur n’est pas uniquement de les transmettre, mais de les incarner, de leur donner du sens en les inscrivant dans une vision d’ensemble. L’efficacité ne se résume pas à des tableaux : elle repose sur la capacité à animer la réunion hebdo de façon engageante et orientée action.
C’est là qu’intervient Idelink. En centralisant la communication, les indicateurs et les plans d’action dans une application mobile unique, Idelink permet à l’animateur de structurer ses points hebdo, de les rendre vivants, et surtout suivis.
Qu’il s’agisse de satisfaction client, d’image prix, de gestion RH ou de performance commerciale, les données doivent être contextualisées, discutées, et traduites en décisions concrètes. Grâce à des modules comme les check-lists, les remontées terrain, ou encore les analyses de performance intégrées, Idelink transforme le reporting en outil opérationnel.
Comment animer efficacement une réunion hebdo avec Idelink ?
1. Recontextualiser les indicateurs
Avec Idelink, chaque indicateur peut être accompagné d’un commentaire, d’un objectif réseau ou d’un rappel stratégique. L’animateur peut intégrer une vidéo d’introduction ou une consigne personnalisée pour éclairer les enjeux.
2. Humaniser l’animation
Grâce à la diffusion de vidéos, photos ou messages ciblés dans l’application, l’animateur crée un lien humain, même à distance. Les points hebdo deviennent des rendez-vous attendus, incarnés, engageants.
3. Valoriser les bonnes pratiques
Idelink permet de partager chaque semaine une success story, une méthode gagnante ou un retour d’expérience illustré. Le réseau progresse collectivement, sans charge de coordination supplémentaire.
4. Créer de l’adhésion par le jeu
Les modules de challenges intégrés dans Idelink permettent de lancer des concours photos, des mini-défis liés aux indicateurs clés, et de suivre les résultats en temps réel. L’engagement s’en trouve renforcé.
5. Raccrocher au stratégique
Via le module « plan d’action », l’animateur rappelle les priorités de la semaine et suit leur déploiement en magasin. L’état d’avancement est visible, partagé et exploitable à tout moment.
Conclusion : une réunion hebdo performante se pilote
Une réunion hebdo ne se limite pas à la diffusion d’indicateurs. Elle crée un cadre propice à la progression collective, transforme les chiffres en décisions, et stimule l’intelligence réseau. Avec une solution comme Idelink, les animateurs gagnent en impact, les points de vente en autonomie, et le réseau en performance.
Vous cherchez un outil pour structurer vos points hebdo et animer votre réseau avec efficacité ?
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Apprendre sur le tas : développer son intuition ou ses mauvaises habitudes ?
Publié le 11 mai 2020Apprendre par l’expérimentation est une pratique très répandue dans l’univers des points de vente. Mais si ça n’est pas un minimum cadré, gare aux mauvaises habitudes…Dans un monde parfait, la montée en compétences des équipes se fait par la transmission et l’accompagnement de leur manager. Dans le monde des points de vente, la distance s’est invitée dans cette relation, et l’animateur régional manque sérieusement de disponibilité… Cette transmission est donc freinée par le manque de contacts quotidiens.
Intégration, plans d’action et expérimentation
Bien sûr, les compétences de base sont cadrées lors de l’intégration : des process RH à l’administratif en passant par la partie logicielle…
Mais ces « hard skills » n’aident pas à s’approprier les attitudes les plus génératrices de chiffre d’affaire.
De plus chaque responsable de magasin a ses propres points forts, qu’on parle de relation clients, de management ou de gestion… C’est donc bien souvent au manager régional de déceler les points de progrès et d’écrire un plan d’action.
Pour le reste des compétences, il faut bien accepter une troisième voie : apprendre sur le tas.
En théorie, apprendre par l’action n’est pas une mauvaise idée car, après la formation (90% de rétention des messages), c’est bien l’action qui permet d’ancrer les apprentissages. (75% de rétention)* En pratique, avec la distance, les équipes autodidactes manquent de points de comparaison. Comment peuvent-elles savoir si elles sont dans le vrai ?
La réflexion autour de la recherche des meilleurs process s’arrête bien souvent autour d’une solution satisfaisante, pas forcément la meilleure… et bon courage pour changer les habitudes ensuite !
Enfin, en agissant « au feeling » comment transmettre aux autres ? L’intuition ne s’explique pas aisément…Toutes ces raisons poussent à vouloir éviter de laisser les équipes en roue libre, mais comment les aider ?
Mettre en place l’expérimentation autonome
Si on s’aperçoit bien ici de l’intérêt de donner le sens et la méthode AVANT l’expérimentation, il reste à trouver la façon de le faire.
1. Détectez les meilleurs.
Chaque action en point de vente se caractérise par des indicateurs. Le chemin le plus court est donc toujours d’aller voir les meilleurs et de décomposer leur méthode.
2. Diffusez le savoir.
Avez-vous déjà essayé de faire un recueil de méthodes et de l’envoyer par mail ? Échec assuré. Pour aller vite (avant les mauvaises habitudes), être attractif et donner du sens, quoi de mieux qu’une vidéo de collègues référents diffusée sur un support mobile ? Certains diront que ça ne vaut pas une formation présentielle. C’est vrai, mais c’est souvent une excuse pour ne rien faire et laisser les mauvaises habitudes s’installer.
3. Prenez du feedback.
Juste avant l’expérimentation, assurez-vous de la bonne compréhension, sous peine d’une déception lors de l’essai. Un Quiz de validation est un excellent moyen d’avancer à distance. Et si en plus il est ludique et permet de centraliser les résultats, vous multipliez les chances de réussite. Soyez disponible à distance pour éclaircir certaines zones d’ombre.
4. Place à l’action.
Assurez-vous bien que le point de vente ait tous les moyens matériels. Faites de ce lancement un véritable kick off sans retour en arrière possible et parlez bien d’une « période » de lancement. Planifiez d’ores et déjà le débrief final.
5. Débriefez.
Axez votre débrief sur les résulats : c’est parce que vous êtes factuel que vous pourrez corriger le tir, sinon les croyances seront plus fortes !
6. Suivez les résultats.
C’est en s’entrainant qu’on gagne en précision et rapidité. Mettez donc en place un suivi chiffré pour le process… Et pourquoi pas le faire animer par une personne référente ?
Il y a bien une différence entre apprendre sur le tas et apprendre par l’expérimentation : C’est l’accompagnement à distance. Avec les bons outils de diffusion et de feedback, ainsi qu’un manager régional qui donne du sens et accompagne, vous constaterez que votre réseau s’aligne et gagne en efficacité !
*source : national training laboratories
L’auto-audit en point de vente : un levier stratégique pour l’excellence opérationnelle.
Publié le 4 mai 2020Dans un environnement commercial en constante évolution, l’audit en point de vente demeure un outil essentiel pour garantir la conformité, la sécurité et la performance opérationnelle.
Cependant, entre deux audits externes, comment maintenir un niveau d’exigence constant et impliquer durablement les équipes terrain ?
L’auto-audit émerge comme une solution efficace pour instaurer une culture d’amélioration continue.
Qu’est-ce qu’un auto-audit en point de vente ?
Un auto-audit est un processus d’évaluation réalisé par les équipes elles-mêmes, directement sur leur point de vente.
Il consiste à contrôler régulièrement le respect des procédures, normes et standards internes, sans attendre une inspection externe.
Objectif : responsabiliser les équipes, détecter les écarts en temps réel et instaurer une dynamique d’amélioration continue.
Pourquoi renforcer le contrôle des processus en point de vente ?
Les procédures en point de vente couvrent des aspects cruciaux : sécurité, hygiène, gestion financière, image client…
Pourtant, sans contrôles réguliers, même les meilleures formations finissent par s’éroder, laissant place à des dérives : démarque inconnue, incidents sanitaires, non-conformités réglementaires…
Sur le terrain, les priorités opérationnelles prennent souvent le dessus. D’où l’intérêt d’un dispositif simple, récurrent et responsabilisant, qui remet les standards au cœur des pratiques.
L’audit externe : indispensable mais insuffisant
Menés par les responsables régionaux ou des cabinets tiers, les audits traditionnels ont leur rôle : évaluer objectivement la conformité.
Mais leur fréquence limitée ne suffit pas à instaurer une dynamique continue, et ils peuvent être vécus comme une sanction plutôt qu’un levier de progrès.
L’auto-audit : responsabiliser sans sanctionner
L’auto-audit consiste à faire auditer chaque point de vente par ses propres équipes, via des check-lists définies.
Si l’idée soulève parfois des doutes, elle présente de nombreux avantages lorsqu’elle est bien accompagnée.
CRAINTE D’UNE BAISSE D’EXIGENCE
L’objectif n’est pas de remplacer les audits externes, mais de les compléter.
L’auto-audit s’inscrit dans une logique de routine, de prévention et de responsabilisation.
DOUTE SUR L’OBJECTIVITÉ
En s’appuyant sur des preuves concrètes (photos, données), l’évaluation devient plus factuelle, donc plus fiable.
MANQUE DE TEMPS
Fractionner les audits en modules ciblés les rend compatibles avec le quotidien d’un point de vente, sans surcharge.
Mettre en place l’auto-audit avec Idelink
Idelink permet de déployer une démarche d’auto-audit efficace, mobile et pilotable en temps réel.
1. CRÉATION DE GRILLES PERSONNALISÉES
Impliquez vos équipes terrain pour des audits réellement utiles.
La force d’un bon auto-audit repose sur des grilles ciblées, pertinentes et concrètes. Avec Idelink, vous avez la possibilité de co-construire vos grilles avec les équipes terrain, pour vous concentrer sur ce qui compte vraiment.
En appliquant le principe du 80/20, vous priorisez les points de contrôle à fort impact, qu’ils soient liés à la sécurité, à l’expérience client ou au respect des procédures internes.
Résultat : des audits mieux perçus, mieux réalisés… et plus efficaces.
2. PLANIFICATION DES AUDITS
Structurez la récurrence sans créer de surcharge.
Idelink intègre une fonctionnalité de planification automatisée des audits.
Définissez des fréquences par type d’audit, affectez des responsables, et programmez des rappels automatiques à destination des équipes concernées.
Chaque point de vente connaît ainsi précisément ses échéances, et l’historique est conservé pour suivre l’assiduité.
3. DIGITALISATION DE L’AUDIT
Des audits terrain 100 % mobiles, faciles à réaliser.
Depuis l’application Idelink, les auto-audits sont réalisés directement sur smartphone ou tablette, à partir de checklists interactives.
Chaque point est documenté par une photo justificative, un commentaire et un score automatique généré à la volée.
Ce format digital réduit les erreurs de saisie, améliore la traçabilité, et facilite la remontée d’information terrain.
4. SUIVI EN TEMPS RÉEL
Analysez instantanément les écarts et priorisez vos actions.
Les résultats des audits sont agrégés dans un tableau de bord dynamique.
- Visualisez les résultats par point de vente ou équipe
- Identifiez les écarts récurrents
- Suivez l’évolution et mesurez les progrès réalisés
5. PLAN D’ACTIONS ASSOCIÉ
Passez automatiquement de la constatation à l’amélioration.
Dès qu’un écart est détecté, Idelink déclenche un plan d’actions automatisé :
- Assigné à un responsable
- Notifié automatiquement
- Suivi avec relance intégrée
L’auto-audit devient ainsi un véritable levier d’actions correctives.
Les bénéfices mesurables de l’auto-audit
- Renforcement de la culture qualité : les équipes deviennent actrices de la conformité.
- Réduction des risques : problèmes identifiés et corrigés en amont.
- Gain de temps : plus besoin d’attendre une visite de contrôle pour détecter un écart.
- Communication facilitée : les points de vente et les têtes de réseau partagent les mêmes données.
- Suivi objectivé : chaque point de vente est évalué sur des indicateurs clairs.

Conclusion

L’auto-audit n’est pas un substitut à l’audit externe, mais un complément indispensable pour faire de l’excellence terrain une réalité quotidienne.
Avec une solution comme Idelink, vous passez d’un contrôle ponctuel à une logique d’amélioration continue, incarnée par vos équipes elles-mêmes.
Le résultat ? Un réseau plus rigoureux, plus autonome, et plus performant.
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Mesurer l’impact de sa communication à destination des points de vente.
Publié le 22 avril 2020Coordonner les actions d’un réseau nécessite une communication bien maitrisée. Pour autant, la sensation de lancer une bouteille à la mer est encore bien présente au moment d’envoyer un mail aux points de vente. Comment y remédier ?
Coordonner les actions d’un réseau nécessite une communication bien maîtrisée. Rien de nouveau sous le soleil, et pourtant… il suffit d’envoyer un mail aux magasins pour ressentir cette désagréable impression : celle de lancer une bouteille à la mer. Peu de retours, des doutes sur la bonne réception, une diffusion inégale… Le siège met souvent beaucoup d’efforts à transmettre les bonnes informations, mais sans jamais vraiment savoir si elles ont été comprises, relayées ou appliquées. Et pendant ce temps, les équipes terrain, elles, doivent jongler entre l’accueil client, les impératifs opérationnels et les nouveautés à appliquer sans forcément en saisir le sens ou la priorité.
Ce décalage entre l’intention et la réception du message nuit directement à l’efficacité du réseau. Car derrière chaque communication, il y a un enjeu concret : déclencher une action, faire évoluer une pratique, faire remonter une information ou aligner les points de vente avec une vision commune. Si la communication ne porte pas ses fruits, ce sont des opportunités commerciales ou opérationnelles qui passent à côté.
Alors comment faire en sorte que les informations du siège ne soient pas juste “envoyées”, mais bien reçues, comprises et utiles aux équipes terrain ?
Comment structurer une communication réseau efficace, fluide et engageante, dans un contexte où l’attention est une ressource rare ?
Les dangers de l’information réseau : intermédiaires, quantité, déperdition, feedbacks et appels…
Les « Intermédiaires » : Les Directeurs Régionaux sont les relais entre le siège et les magasins mais ils ne peuvent passer leurs journées à jouer les passe-plats car cela ne leur laisserait plus de temps pour animer leurs magasins. (Et ce rajout d’un intermédiaire va freiner l’information)
La quantité d’informations : Abreuver le réseau d’informations sur la façon dont ils doivent travailler est contre-productif : cela revient à noyer les messages importants au milieu d’une forêt de mails sans relief, dont des « annule et remplace », des « copie pour info » et autres « oups, la pièce jointe ».
La déperdition d’informations : Comment être sûr que vos mails sont bien lus ? Ont-ils seulement été ouverts ? Certaines fois ils ont été vus par une personne qui a été sollicitée par un client et elle n’a pas relayé l’information…
Les feedbacks : Communiquer avec un réseau peut parfois ressembler au lancement d’une bouteille à la mer. Le message est-il lu ? Compris ? Relayé ? Planifié ? Mis en place ? La notion de confiance est ici forte, mais laisse parfois place à la déception lors des visites en points de vente.
Les appels : Appeler les équipes revient à choisir pour elles le moment pour communiquer alors que les contraintes opérationnelles sont de leur côté. Qu’elles soient avec un client, en train d’avancer sur une tache, ou en pause, la probabilité de tomber au bon moment n’est pas très élevée…
Une fois ces contraintes listées, il convient de trouver les recettes qui permettent d’être le support des points de vente, et non l’inverse, y compris dans la communication.
Gagner en impact : Ritualiser, structurer, adapter et demander du feedback sur sa communication
- Ritualisez votre communication.
Pour que les équipes puissent intégrer ces moments de communication à leur programme, faites-en un rituel ! Un point téléphonique ? Une newsletter du siège ? Un mail du matin ? Un lancement de période forte ? Si ce rendez-vous est prévu et devient une habitude, votre interlocuteur sera disponible et recevra bien mieux le message.
- Structurez votre communication.
Pour vous assurer que chaque message envoyé soit un message reçu, assurez-vous que son destinataire sache qui l’envoie et pourquoi. C’est en utilisant le bon support, à la bonne fréquence, et par le bon canal, que votre communication fera mouche.
- Organisez le feedback.
On dit souvent que même le silence est un message. Mais lequel ? Si vous n’organisez pas le feedback, vous ne le saurez probablement jamais. Mais imaginez à l’inverse recevoir 200 mails de retour ! C’est en étant précis sur la réponse que vous attendez, avec un outil qui centralise les retours, que vous aurez les réponses à vos questions.
Faire un bilan après une période forte ? Obtenir du feedback sur les supports ? Passée la crainte des retours négatifs, vous constaterez que la démarche du feedback régulier s’avère vertueuse…
- Adaptez-vous aux contraintes terrain.
Un dernier conseil : Si vous voulez communiquer efficacement avec votre interlocuteur, adaptez-vous à ses contraintes ! A quel moment de la semaine / de la journée est-il disponible ? De quelles informations a-t-il besoin ? Le moyen de communication est-il réellement adapté à ses contraintes ? Est-ce qu’une application mobile ne serait pas plus pratique qu’une boite mail sur la caisse ? En répondant à ces questions que vous gagnerez, et ferez gagner vos messages, en impact.
Vous l’aurez compris, communiquer avec un réseau de points de vente ne s’improvise pas, et c’est autant une question d’empathie que d’outil adapté.
Lire la suite...Visites terrain : passez du constat à l’action.
Publié le 14 avril 2020Dans un réseau de points de vente, les visites terrain ne doivent pas se limiter à une simple présence physique. Elles représentent un levier puissant pour améliorer l’excellence opérationnelle, identifier les écarts, booster la performance commerciale et renforcer l’engagement des équipes.
Encore faut-il structurer ces visites, en tirer des actions concrètes, et suivre dans le temps leur impact.
DE LA TOURNÉE AU PILOTAGE RÉSEAU
Le responsable de secteur ou directeur régional est bien plus qu’un visiteur : c’est un pilote de performance locale. Ses visites sont des temps forts pour :
- évaluer la mise en œuvre des standards réseau,
- détecter les signaux faibles sur le terrain,
- accompagner les équipes dans leurs priorités.
Avec Idelink, chaque visite est préparée, tracée et suivie dans le temps. Les check-lists sont personnalisables, les comptes-rendus sont harmonisés, les plans d’actions sont centralisés et surtout, mesurables.
ADAPTER LA VISITE AUX ENJEUX DU MOMENT
À chaque période ses objectifs de visite :
- Au début d’une période calme, il convient de définir sa roadmap en lien avec la stratégie réseau, puis de la dérouler. C’est le moment où les équipes sont le plus disponibles : on peut donc manager de façon participative ou délégative. Faire grandir, autonomiser, créer de la cohésion et travailler la confiance.
- La période juste avant un pic d’activité consiste à préparer (planification, moyens, stratégie, contrôle) et motiver. C’est le moment d’ouvrir les yeux et de manager de façon persuasive.
- L’objectif du management en période forte est simple : performer. Le style devient plus directif : contrôler la mise en place, motiver, challenger, aider les équipes dans la gestion des priorités. Être présent à leurs côtés si besoin.
- Juste après le pic d’activité, place au débrief : prendre du recul, tirer des enseignements, capitaliser. “Qu’as-tu appris ? Que ferais-tu autrement ?”
- Et nous revoici au début de la période calme. Attention : sur 3 mois, entre débrief, roadmap et préparation, vous n’aurez peut-être que 2 visites de fond. Il faut les structurer.
Si chaque période a ses objectifs et KPI alignés avec la stratégie du réseau, chaque visite doit donc poursuivre ces objectifs. En améliorant vos visites, vous optimisez votre stratégie réseau. Alors, comment faire ?
LA TRAME DE VISITE : L’OUTIL DE BASE D’UNE EXIGENCE COMMUNE
Il est temps de s’appuyer sur l’intelligence collective. Si un DR excelle en relation client ou en gestion de stock, ses pratiques doivent bénéficier au réseau. Ensemble, construisez la meilleure trame de visite, fondée sur les forces de chacun.
Et oui, il faut formaliser les visites ! Pour gagner en objectivité, fluidifier le debrief avec le responsable, suivre les évolutions, sécuriser juridiquement (notamment pour les franchisés), et économiser du temps d’échange grâce à un outil intuitif.
UNE TRAME DE VISITE OU DES TRAMES DE VISITE ?
Il vous faut plusieurs trames, car les objectifs de visite évoluent selon les périodes :
- Période calme : visites plus longues et approfondies (audit, coaching, chiffres, parcours client). Adaptez le support de visite, ajoutez les éléments stratégiques, voire créez des trames spécifiques pour les auto-audits ou le service audit.
- Préparation des périodes fortes : motiver et préparer (réunion régionale + check individuelle). Checklist commune obligatoire (stocks, planning, animation, etc.) : pas de place pour le doute.
- Période forte : peu de temps, peu de recul. Visites flash pour réajuster les priorités et résoudre rapidement les problèmes. Utilisez une trame rapide et claire, orientée performance, avec des préconisations concrètes.
Dans cette période, on privilégie des visites courtes et nombreuses. Puis, on intervient là où les équipes ont le plus besoin de soutien.
Les visites commerciales sont bien plus que des tournées : elles peuvent devenir un outil stratégique. C’est en alignant tout le réseau sur une exigence commune qu’on le fait grandir et performer ensemble.
TRANSFORMEZ VOS VISITES EN LEVIER STRATÉGIQUE
Avec Idelink, structurez vos trames de visites, adaptez-les à chaque période clé, suivez les plans d’actions, et harmonisez les pratiques sur l’ensemble de votre réseau.
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Lire la suite...Le challenge équipe magasin : 7 astuces pour garder vos équipes « à bloc »
Publié le 3 avril 2020Dans un contexte où les réseaux de points de vente doivent conjuguer exigence commerciale, cohérence opérationnelle et engagement humain, le rôle des équipes terrain est plus que jamais central. Leur motivation, leur capacité à se mobiliser collectivement et à incarner la stratégie de l’enseigne sur le terrain conditionnent directement les résultats.
Pour nourrir cet engagement, les challenges commerciaux se révèlent être de formidables leviers. S’ils sont bien pensés, bien rythmés et bien pilotés, ils stimulent la dynamique d’équipe, transforment les temps forts en opportunités de progression, et renforcent l’adhésion à la stratégie de l’entreprise.
Idelink, avec ses modules flexibles et adaptés aux réalités du terrain, offre une plateforme sur mesure pour concevoir, animer et suivre ces challenges de manière simple, motivante et impactante. Bien plus qu’un outil, c’est un véritable chef d’orchestre de vos opérations commerciales terrain.
1. Définir des objectifs clairs et atteignables
Un challenge efficace commence par des objectifs alignés avec les priorités de l’enseigne.
Panier moyen, taux de transformation, vente d’un produit stratégique, NPS… vos indicateurs doivent être clairs, mesurables et atteignables pour mobiliser tout le monde.
2. Segmenter les participants pour plus d’équité
Rien de pire qu’un challenge déséquilibré. Pour éviter qu’un petit magasin se compare à un flagship, Idelink permet de créer des groupes par typologie, région ou format. Résultat : plus d’équité, donc plus de motivation.
3. Communiquer régulièrement et efficacement
Un challenge vivant, c’est un challenge qui parle !
Actualités, vidéos, classements intermédiaires, messages de motivation… avec Idelink, vous animez l’opération comme un média, et gardez le lien avec vos équipes sur la durée.
4. Suivre la performance en temps réel
Pendant toute la durée du challenge, suivez les résultats et adaptez vos messages.
Grâce aux tableaux de bord Idelink, les managers visualisent l’évolution et peuvent ajuster leurs actions rapidement.
5. Valoriser les réussites et partager les bonnes pratiques
Les top performers ne sont pas seulement là pour être récompensés : ce sont aussi des sources d’inspiration. Mettez-les en avant, partagez leurs méthodes, créez une dynamique de progrès collectif dans tout le réseau.
6. Intégrer des éléments ludiques pour stimuler l’engagement
Badges, niveaux, quiz, animations visuelles… la gamification est un levier puissant d’engagement. Avec Idelink, vous pouvez facilement injecter du fun dans vos opérations commerciales.
7. Analyser les résultats pour améliorer les futures initiatives
Un challenge bien terminé, c’est un challenge bien analysé.
Avec Idelink, récupérez les résultats, comparez les performances, et préparez déjà la prochaine édition sur une base solide.
🚀 Prêt à dynamiser vos équipes avec Idelink ?
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Lire la suite...Faut-il encore miser sur l’intranet pour animer son réseau ?
Publié le 3 mai 2019Longtemps réservé aux grandes entreprises, l’intranet était perçu comme un symbole de modernité en matière de communication interne. Aujourd’hui, il s’est généralisé et fait partie intégrante des infrastructures numériques de nombreuses organisations. Mais apporte-t-il réellement une valeur ajoutée à un réseau de franchise ? Une appli, plus souple et pensée pour les usages terrain, vient bousculer ce modèle.
Avant d’aller plus loin, précisons ce que nous entendons par intranet : un réseau informatique privé, conçu pour centraliser les échanges et l’accès à l’information au sein d’une organisation. Son périmètre est strictement délimité aux collaborateurs de l’entreprise.
Toutefois, si l’intranet excelle dans la diffusion d’informations centralisées, il n’est pas toujours le meilleur allié pour une communication fluide et engageante entre les équipes. Face à ses limites, une application s’impose comme une alternative plus adaptée aux réseaux distribués, là où l’agilité et la réactivité sont clés. Son cadre rigide et son cloisonnement peuvent en effet freiner l’interaction et la coordination terrain.
1. UN INTRANET N’EST PAS USER-FRIENDLY !
C’est peut-être l’un des arguments les plus importants. Mais communiquer via un intranet lorsque son équipe de travail est divisée dans différents bureaux (voire différents lieux) n’est en rien une partie de plaisir. Le constat est unanime : l’intranet doit se métamorphoser sous la pression de son acteur n°1 : l’utilisateur.
Si vos collaborateurs n’ont pas le temps, ils ne communiqueront pas via cet outil qui demanderait presque un BAC+17 parfois… Cependant, la clé d’une communication réussie, c’est de considérer ses collaborateurs comme des clients en interne, de cerner leur besoin et leur enjeu pour pouvoir enfin créer de la valeur ajoutée au travers de la communication interne. Définissez les besoins de vos équipes pour leur proposer les services modulables dont ils auront besoin pour être plus efficaces, et vous faire des remontées d’informations plus pertinentes et régulières.
2. UN INTRANET EST TROP COMPLEXE !
Franchisés ou animateurs réseaux, c’est le même combat : ils n’ont pas le temps de se connecter à un portail informatique et de chercher les bons onglets pour pouvoir délivrer la bonne information au moment opportun.
Finalement, ils passent plus de temps à parcourir l’intranet qu’à profiter de ses potentiels bénéfices. De plus, la mise en place d’un intranet représente un coût relativement important, ce qui pose un problème considérable quant aux éventuelles modifications de celui-ci pour le rendre totalement modulable. Le jeu en vaut-il encore la chandelle quand le simple fait d’imaginer ajouter un service supplémentaire peut potentiellement virer au cauchemar ?
3. UN INTRANET EST TROP IMPERSONNEL !
Soyons honnête, les intranets centrés sur les informations purement “corporate” et les communications unilatérales n’attirent plus. Les franchisés y piochent ce qu’ils veulent et puis s’en vont. Leur ouvrir par défaut la homepage de l’intranet n’y change rien. Ces pages sont vite refermées. Vous pouvez le booster un peu en accélérant la cadence de publication de l’information et en faisant des animations, mais cela retombe rapidement car votre réseau ne trouve pas les informations qu’il souhaiterait trouver.
Les besoins des directeurs marketing ne sont pas les mêmes que les besoins de vos CTO et encore moins de vos franchisés. Chaque membre a besoin de son information propre et utile !
4. UN INTRANET PEU DEVENIR CONTRE-PERFORMANT
Un peu raide, l’intranet n’est pas optimisé pour accompagner votre réseau en cas d’imprévu. Loin d’être agile, il ne permet pas la modification de contenus en temps réel, et les informations et remontées terrains y seront toujours un peu dépassées. En plus de manquer de souplesse, un intranet peut s’avérer passif, facilement oubliable dans le coin d’un ordinateur… et là, ça devient problématique.
5. UN INTRANET N’EST PAS ASSEZ SAFE !
L’intranet regroupe en quelque sorte la vie privée et la confidentialité de votre réseau de franchise. Tout ça pour empêcher des étrangers l’accès aux informations sensibles. Or, les connexions entre un intranet et Internet peuvent compromettre la sécurité, à cause de potentielles infections de virus ou de piratage du système.
SIMPLIFIEZ-VOUS LA VIE ET CELLE DE VOTRE RÉSEAU AVEC UNE APPLICATION CONÇUE POUR LE TERRAIN !
Idelink est une solution sur-mesure conçue pour révéler tout le potentiel de votre réseau.
Plus qu’une application mobile, c’est un véritable outil d’animation, pensé à partir de vos enjeux terrain. Grâce à une console dédiée au siège, vous centralisez l’ensemble des communications et pilotez leur diffusion de manière ciblée, intuitive et efficace. Les têtes de réseau peuvent ainsi pousser, en quelques clics, des contenus variés (actualités, vidéos, sondages, checklists…) directement dans la poche des équipes terrain, via leur smartphone.
Simple, fluide et à votre image, Idelink vous aide à structurer vos échanges et à dynamiser l’opérationnel.
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La culture d’entreprise dans les réseaux de franchises
Publié le 3 mai 2019La culture d’entreprise est le ciment d’une organisation, c’est un secret pour personne. Il s’agit d’un véritable vecteur, en lien directement avec les derniers étages des besoins de la pyramide de Maslow (mais si, Maslow… vous savez ?) : le besoin d’appartenance et d’estime pour les membres d’une entreprise.
Lire la suite...Franchise et communication interne : un amour impossible ?
Publié le 6 février 2019Ah, la communication interne… la grande délaissée de la communication d’entreprise. Souvent mise de côté au profit de sa sœur, la communication externe, elle n’en reste pas moins un levier important de bien-être dans une entreprise, peu importe son secteur d’activité, son chiffre d’affaire ou sa taille. Mais qu’en est-il des réseaux de franchises ?
Lire la suite...Comment une mauvaise communication affecte les performances de votre réseau de franchises ?
Publié le 4 décembre 2018La communication au cœur d’un réseau de franchise et une (lourde) tâche qui incombe au franchiseur. Et une chose est sûre, ce n’est pas toujours évident de trouver les bons outils pour permettre une communication fluide entre les différents acteurs. L’un des péchés digitaux des têtes de réseau est de multiplier les outils de communication, en priant pour que parmi l’ensemble confus d’outils, un finira bien par fonctionner. Résultat : des emails non lus avec des taux d’ouvertures catastrophiques, un intranet désuet.
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