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Faut-il libérer ou structurer l’information dans les réseaux de points de vente ?

L’information est le pilier de la performance des réseaux de points de vente. Elle conditionne la coordination, l’harmonisation des pratiques et l’efficacité des opérations sur le terrain. Cependant, la manière dont cette information circule est un équilibre subtil à trouver : un contrôle excessif engendre des frustrations et une rigidité contre-productive, tandis qu’une diffusion trop libre peut mener à la confusion et à une perte de maîtrise du message. Alors, comment arbitrer entre structuration et autonomie informationnelle ?

La révolution des messageries instantanées : gain ou illusion de fluidité ?

L’avènement des messageries instantanées a bouleversé les modes de communication dans les réseaux de points de vente. Fini les e-mails formels avec d’interminables listes de destinataires en copie, remplacés par des groupes WhatsApp ou Telegram permettant une interaction instantanée et désinhibée. L’avantage est indéniable : réactivité, engagement, rapidité. Mais ces outils sont-ils vraiment adaptés à la communication structurée dont un réseau a besoin ?

Prenons un exemple concret : imaginez une annonce concernant une animation commerciale à déployer dans 30 magasins via un groupe WhatsApp. Combien de messages faudra-t-il envoyer avant d’avoir la certitude que l’information a été comprise dans son intégralité ? Qui a lu le message ? Qui est concerné ? Combien de discussions annexes, réactions ou questions vont-elles diluer le message initial ?

Déployons maintenant cette même communication à l’échelle d’un réseau national. La multiplication des messages, l’enchevêtrement des réponses et l’absence de traçabilité font rapidement perdre le contrôle. En résumé, une information diffusée sans structuration devient une information bruit, inefficace et difficilement exploitable.

 

Structurer sans brider : un enjeu stratégique

L’objectif n’est pas d’opposer un modèle ouvert à un modèle rigide, mais de définir un cadre dans lequel l’information circule efficacement tout en restant maîtrisée.

1. Centraliser et hiérarchiser les canaux de communication

Toutes les informations ne se valent pas. Une stratégie efficace repose sur une segmentation des canaux en fonction du type de communication :

  • Opérationnelle et critique : informations descendantes structurées via une plateforme dédiée garantissant traçabilité et accès ciblé.
  • Collaborative et participative : messageries instantanées ou forums internes pour favoriser l’échange et le partage de bonnes pratiques.
  • Formative et référentielle : bases de connaissances accessibles en self-service pour limiter la redondance des demandes et accélérer l’autonomie.

2. Assurer la diffusion et la compréhension

Structurer l’information ne signifie pas la figer. Une information doit être :

  • Diffusée au bon moment et à la bonne cible, en évitant la surcharge informationnelle.
  • Suivie et mesurée, grâce à des indicateurs de lecture et d’engagement.
  • Clarifiée et contextualisée, avec un accès facile aux détails si besoin.

3. Automatiser et démocratiser l’accès à l’information

Les solutions digitales actuelles permettent de structurer sans rigidifier. L’intégration d’outils comme Idelink permet de diffuser les bonnes informations aux bonnes personnes, en garantissant une accessibilité optimale, une traçabilité précise et une interaction maîtrisée.

 

Communication points de vente Idelink

 

Les clés pour une communication efficace dans un réseau

1. Libérez la communication

Favorisez la cohésion et l’entraide en utilisant des applications de messagerie ou des réseaux sociaux d’entreprise. Les échanges transversaux permettent de réduire le sentiment de solitude et renforcent l’intelligence collective. Encouragez ces interactions pour les décisions non urgentes afin d’améliorer l’adhésion et la compréhension. Un mode de communication ouvert favorise l’engagement des équipes et crée de la proximité entre collaborateurs.


2. Donnez accès à l’information

Évitez la perte de temps liée à la recherche d’une information noyée dans une messagerie ou une boîte mail. Une plateforme dédiée avec une arborescence claire et intuitive (comme un intranet ou une base de connaissances) permet un accès rapide et structurant aux données nécessaires.

3. Pilotez les informations critiques

L’une des pires pratiques pour la communication terrain reste la dépendance aux e-mails. Un outil adapté à la mobilité est primordial pour les équipes en points de vente. Une notification push est, par exemple, lue en moyenne 1h26 avant un email.

  • Ciblez vos destinataires pour éviter l’infobésité tout en impliquant les animateurs, qui garantissent la mise en place effective.
  • Multipliez les supports pour capter l’attention : photos, quiz, vidéos, sondages… diversifiez les formats pour rendre l’information plus attractive et engageante.


4. Structurez les remontées terrain

Facilitez et standardisez les remontées d’information pour obtenir des réponses exploitables plus rapidement. L’utilisation de sondages réguliers permet d’objectiver les décisions et de les rendre plus acceptables en les basant sur des données collectives.

Une information plurielle et stratégique

L’information dans un réseau de points de vente n’est pas monolithique, elle est multiple et répond à des besoins variés. Elle peut être celle qui se partage et qui se discute, celle qui mène à l’action, celle que d’autres voudraient avoir ou encore celle dont certains ont besoin, mais pas vous. La clé d’une gestion efficace de l’information repose sur un équilibre entre structuration et libération. Une diffusion trop libre risque de créer du bruit informationnel, tandis qu’un encadrement excessif peut nuire à la réactivité et à l’engagement des équipes. Il est donc essentiel d’identifier quelles informations doivent être ouvertes et collaboratives, et lesquelles nécessitent un cadre précis pour garantir leur pertinence et leur impact. Une gestion maîtrisée de l’information permet ainsi d’éviter le chaos et l’infobésité, tout en optimisant la performance du réseau.

L’information dans un réseau de points de vente n’est pas monolithique, elle est multiple :

  • Celle qui se partage et qui se discute,
  • Celle qui mène à l’action,
  • Celle que d’autres voudraient avoir,
  • Et celle dont certains ont besoin, mais pas vous.

La clé d’une gestion efficace de l’information réside dans un dosage judicieux entre structuration et libération. Savoir quelles informations doivent être partagées librement et lesquelles doivent être encadrées est essentiel pour éviter le chaos informationnel et l’infobésité.

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Digitalisation des points de vente : les clés d’un changement efficace

 

La digitalisation des points de vente est devenue une nécessité face aux nouveaux enjeux du commerce. Pourtant, son adoption varie considérablement d’une enseigne à l’autre et d’un outil à l’autre. Trouver la bonne solution technologique est un premier défi, mais la rendre efficace auprès des équipes en est un autre, souvent sous-estimé.

Vous avez identifié un outil digital qui promet d’améliorer la gestion terrain, de libérer du temps aux équipes et d’optimiser l’expérience client. Pourtant, après son déploiement, l’enthousiasme initial laisse place à l’indifférence, voire à la résistance. Pourquoi ce blocage ? Le problème ne vient pas toujours de l’outil lui-même, mais bien de la façon dont le changement est perçu et accompagné.

DE LA PERCEPTION DU BESOIN À L’ADHÉSION DES ÉQUIPES

La réussite de la digitalisation des points de vente dépend largement de la perception du besoin par les équipes concernées.

> Douleur latente vs douleur identifiée : Si le problème à résoudre n’est pas clairement ressenti par les équipes, l’intérêt pour le changement sera faible. En revanche, si la problématique est bien identifiée, l’adoption sera plus naturelle.

> La courbe d’adoption de l’innovation : Selon Geoffrey Moore (Crossing the Chasm), seuls 16% des utilisateurs sont naturellement enclins à adopter une innovation. La majorité (68%) doit être convaincue progressivement, et une minorité (16%) restera réfractaire.

 

Courbe d'adoption de l'innovation


SURMONTER LA RÉSISTANCE AU CHANGEMENT

La courbe du changement (modèle de Kübler-Ross) illustre les étapes émotionnelles que traverse un utilisateur face à une nouveauté : déni, colère, marchandage, tristesse, acceptation. Pour réussir la transition, il est essentiel d’agir sur deux leviers :

> Le temps : Annoncer et préparer le changement en amont permet d’éviter un rejet brutal. Il faut d’abord sensibiliser les équipes à la problématique avant même de parler de la solution.

> La confiance : Un changement sera mieux accepté s’il est porté par des relais de confiance proches des utilisateurs finaux (managers terrain, early adopters).

Digitalisation Idelink

Les personnes qui lancent un projet d’innovation sont eux-mêmes souvent des innovateurs et des visionnaires. Leur goût pour la nouveauté, combiné à une douleur identifiée, peuvent s’avérer être un handicap car 16% des personnes concernées par le changement vont leur faire un retour fantastique ! Les 16% réfractaires vont également se faire entendre, mais seront cantonnés au rôle de râleurs.

Et les 68% restants ? Ce sont eux qui devraient être la vraie cible des attentions. Leur silence ne vaut pas pour acceptation. Leur vécu, leurs habitudes et leur résilience peuvent même être contre-productifs dans ce cas précis. Comment les aider à comprendre et accepter ce changement ?

COURBE DU CHANGEMENT : PASSER DE LA RÉSISTANCE A L’ACCEPTATION.

Cette courbe de Kübler Ross, également appelée courbe du deuil, décrit toutes les étapes par lesquelles un utilisateur passe pour accepter un changement. Le but n’est pas ici de passer par-dessus certaines étapes mais de raccourcir le temps entre 2 étapes et d’éviter de rester bloqué sur l’une d’elle afin que le lancement de la solution intervienne lors de la phase d’acceptation.

Confiance en soi temps

LES ÉTAPES ESSENTIELLES POUR UNE DIGITALISATION DES POINTS DE VENTE RÉUSSIE

1. Sensibiliser tôt pour préparer les équipes

La communication initiale doit créer un électrochoc en mettant en avant le problème actuel et la nécessité d’évolution. L’objectif ? Faire émerger une prise de conscience collective.

2. Co-construire la diffusion avec des relais

Même si la solution ne peut pas toujours être développée en interne, son déploiement doit impliquer les équipes. Un groupe pilote (mêlant early adopters et pragmatiques) peut tester l’outil et définir la meilleure approche de communication.

3. Mobiliser les managers comme relais de confiance

Les managers jouent un rôle clé. Une formation préalable leur permettra d’accompagner leurs équipes et de légitimer le changement.

4. Supprimer les alternatives pour éviter le marchandage

L’une des résistances courantes au changement est la tentation de garder l’ancienne méthode en parallèle. Il est donc crucial d’être clair dès le début : la nouvelle solution remplacera définitivement.

5. Adapter la communication à chaque phase

  • Phase 1 : Sensibilisation sur le problème
  • Phase 2 : Présentation de la solution avec des démonstrations concrètes
  • Phase 3 : Lancement avec des tutoriels et un accompagnement renforcé
  • Phase 4 : Suivi post-lancement pour ancrer les usages et célébrer les succès

6. Consolider l’adoption et mesurer l’impact

Une fois la solution en place, il est essentiel de suivre son utilisation et d’intervenir auprès des points de vente les moins engagés. La célébration des premiers succès contribue à inscrire durablement le changement dans la culture de l’entreprise. Nous aurions pu intégrer un septième point.  Oubliez que vous aviez déjà fonctionné autrement mais il faut bien garder quelques surprises (idéalement des bonnes !) Ne pensez pas que c’est parce qu’une solution est intuitive que la conduite du changement en est pour autant optionnelle : le frein ne repose pas dans la technologie de la solution mais dans la prise de conscience du problème.

 

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Antoine GARBEZDigitalisation des points de vente : les clés d’un changement efficace
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Donner vie aux points hebdomadaires en points de vente

Chaque semaine, les équipes terrain reçoivent des tableaux de bord consolidés par le siège ou l’animation réseau. Pourtant, ces indicateurs essentiels peinent souvent à générer une véritable dynamique de progrès sur le terrain. L’enjeu n’est plus seulement de mesurer, mais de mobiliser.Dans les réseaux de points de vente, chaque stratégie est unique. Néanmoins, toutes ont en commun une structure fondée sur des objectifs mesurables. Car il est impossible d’atteindre une cible que l’on n’a pas formalisée. Et pour que ces objectifs prennent vie, il faut aller bien au-delà de la diffusion d’un fichier Excel.

De l’indicateur à l’impact : transformer les données en leviers opérationnels

À chaque axe stratégique correspondent des indicateurs clés. Le rôle de l’animateur n’est pas uniquement de les transmettre, mais de les incarner, de leur donner du sens en les inscrivant dans une vision d’ensemble. L’efficacité ne se résume pas à des tableaux : elle repose sur la capacité à animer la réunion hebdo de façon engageante et orientée action.

C’est là qu’intervient Idelink. En centralisant la communication, les indicateurs et les plans d’action dans une application mobile unique, Idelink permet à l’animateur de structurer ses points hebdo, de les rendre vivants, et surtout suivis.

Qu’il s’agisse de satisfaction client, d’image prix, de gestion RH ou de performance commerciale, les données doivent être contextualisées, discutées, et traduites en décisions concrètes. Grâce à des modules comme les check-lists, les remontées terrain, ou encore les analyses de performance intégrées, Idelink transforme le reporting en outil opérationnel.

Comment animer efficacement une réunion hebdo avec Idelink ?

1. Recontextualiser les indicateurs

Avec Idelink, chaque indicateur peut être accompagné d’un commentaire, d’un objectif réseau ou d’un rappel stratégique. L’animateur peut intégrer une vidéo d’introduction ou une consigne personnalisée pour éclairer les enjeux.

2. Humaniser l’animation

Grâce à la diffusion de vidéos, photos ou messages ciblés dans l’application, l’animateur crée un lien humain, même à distance. Les points hebdo deviennent des rendez-vous attendus, incarnés, engageants.

3. Valoriser les bonnes pratiques

Idelink permet de partager chaque semaine une success story, une méthode gagnante ou un retour d’expérience illustré. Le réseau progresse collectivement, sans charge de coordination supplémentaire.

4. Créer de l’adhésion par le jeu

Les modules de challenges intégrés dans Idelink permettent de lancer des concours photos, des mini-défis liés aux indicateurs clés, et de suivre les résultats en temps réel. L’engagement s’en trouve renforcé.

5. Raccrocher au stratégique

Via le module « plan d’action », l’animateur rappelle les priorités de la semaine et suit leur déploiement en magasin. L’état d’avancement est visible, partagé et exploitable à tout moment.

Conclusion : une réunion hebdo performante se pilote

Une réunion hebdo ne se limite pas à la diffusion d’indicateurs. Elle crée un cadre propice à la progression collective, transforme les chiffres en décisions, et stimule l’intelligence réseau. Avec une solution comme Idelink, les animateurs gagnent en impact, les points de vente en autonomie, et le réseau en performance.

Vous cherchez un outil pour structurer vos points hebdo et animer votre réseau avec efficacité ?
Demandez une démo personnalisée de la solution Idelink et découvrez comment elle peut booster vos réunions hebdomadaires.

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Apprendre sur le tas : développer son intuition ou ses mauvaises habitudes ?

Apprendre par l’expérimentation est une pratique très répandue dans l’univers des points de vente. Mais si ça n’est pas un minimum cadré, gare aux mauvaises habitudes…Dans un monde parfait, la montée en compétences des équipes se fait par la transmission et l’accompagnement de leur manager. Dans le monde des points de vente, la distance s’est invitée dans cette relation, et l’animateur régional manque sérieusement de disponibilité… Cette transmission est donc freinée par le manque de contacts quotidiens.

 

Intégration, plans d’action et expérimentation

Bien sûr, les compétences de base sont cadrées lors de l’intégration : des process RH à l’administratif en passant par la partie logicielle…
Mais ces « hard skills » n’aident pas à s’approprier les attitudes les plus génératrices de chiffre d’affaire.

De plus chaque responsable de magasin a ses propres points forts, qu’on parle de relation clients, de management ou de gestion… C’est donc bien souvent au manager régional de déceler les points de progrès et d’écrire un plan d’action.

Pour le reste des compétences, il faut bien accepter une troisième voie : apprendre sur le tas.

En théorie, apprendre par l’action n’est pas une mauvaise idée car, après la formation (90% de rétention des messages), c’est bien l’action qui permet d’ancrer les apprentissages. (75% de rétention)* En pratique, avec la distance, les équipes autodidactes manquent de points de comparaison. Comment peuvent-elles savoir si elles sont dans le vrai ?

La réflexion autour de la recherche des meilleurs process s’arrête bien souvent autour d’une solution satisfaisante, pas forcément la meilleure… et bon courage pour changer les habitudes ensuite !

Enfin, en agissant « au feeling » comment transmettre aux autres ? L’intuition ne s’explique pas aisément…Toutes ces raisons poussent à vouloir éviter de laisser les équipes en roue libre, mais comment les aider ?

 

Mettre en place l’expérimentation autonome.

Si on s’aperçoit bien ici de l’intérêt de donner le sens et la méthode AVANT l’expérimentation, il reste à trouver la façon de le faire.

1. Détectez les meilleurs.

Chaque action en point de vente se caractérise par des indicateurs. Le chemin le plus court est donc toujours d’aller voir les meilleurs et de décomposer leur méthode.

2. Diffusez le savoir.

Avez-vous déjà essayé de faire un recueil de méthodes et de l’envoyer par mail ? Échec assuré. Pour aller vite (avant les mauvaises habitudes), être attractif et donner du sens, quoi de mieux qu’une vidéo de collègues référents diffusée sur un support mobile ? Certains diront que ça ne vaut pas une formation présentielle. C’est vrai, mais c’est souvent une excuse pour ne rien faire et laisser les mauvaises habitudes s’installer.

3. Prenez du feedback.

Juste avant l’expérimentation, assurez-vous de la bonne compréhension, sous peine d’une déception lors de l’essai. Un Quiz de validation est un excellent moyen d’avancer à distance. Et si en plus il est ludique et permet de centraliser les résultats, vous multipliez les chances de réussite. Soyez disponible à distance pour éclaircir certaines zones d’ombre.

4. Place à l’action.

Assurez-vous bien que le point de vente ait tous les moyens matériels. Faites de ce lancement un véritable kick off sans retour en arrière possible et parlez bien d’une « période » de lancement. Planifiez d’ores et déjà le débrief final.

5. Débriefez.

Axez votre débrief sur les résulats : c’est parce que vous êtes factuel que vous pourrez corriger le tir, sinon les croyances seront plus fortes !

6. Suivez les résultats.

C’est en s’entrainant qu’on gagne en précision et rapidité. Mettez donc en place un suivi chiffré pour le process… Et pourquoi pas le faire animer par une personne référente ?

 

Il y a bien une différence entre apprendre sur le tas et apprendre par l’expérimentation : C’est l’accompagnement à distance. Avec les bons outils de diffusion et de feedback, ainsi qu’un manager régional qui donne du sens et accompagne, vous constaterez que votre réseau s’aligne et gagne en efficacité !

 

*source : national training laboratories

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L’auto-audit en point de vente : un levier stratégique pour l’excellence opérationnelle.

Dans un environnement commercial en constante évolution, l’audit en point de vente demeure un outil essentiel pour garantir la conformité, la sécurité et la performance opérationnelle.

Cependant, entre deux audits externes, comment maintenir un niveau d’exigence constant et impliquer durablement les équipes terrain ?

L’auto-audit émerge comme une solution efficace pour instaurer une culture d’amélioration continue.

Qu’est-ce qu’un auto-audit en point de vente ?

Un auto-audit est un processus d’évaluation réalisé par les équipes elles-mêmes, directement sur leur point de vente.

Il consiste à contrôler régulièrement le respect des procédures, normes et standards internes, sans attendre une inspection externe.

Objectif : responsabiliser les équipes, détecter les écarts en temps réel et instaurer une dynamique d’amélioration continue.

Pourquoi renforcer le contrôle des processus en point de vente ?

Les procédures en point de vente couvrent des aspects cruciaux : sécurité, hygiène, gestion financière, image client…

Pourtant, sans contrôles réguliers, même les meilleures formations finissent par s’éroder, laissant place à des dérives : démarque inconnue, incidents sanitaires, non-conformités réglementaires…

Sur le terrain, les priorités opérationnelles prennent souvent le dessus. D’où l’intérêt d’un dispositif simple, récurrent et responsabilisant, qui remet les standards au cœur des pratiques.

L’audit externe : indispensable mais insuffisant

Menés par les responsables régionaux ou des cabinets tiers, les audits traditionnels ont leur rôle : évaluer objectivement la conformité.

Mais leur fréquence limitée ne suffit pas à instaurer une dynamique continue, et ils peuvent être vécus comme une sanction plutôt qu’un levier de progrès.

L’auto-audit : responsabiliser sans sanctionner

L’auto-audit consiste à faire auditer chaque point de vente par ses propres équipes, via des check-lists définies.

Si l’idée soulève parfois des doutes, elle présente de nombreux avantages lorsqu’elle est bien accompagnée.

CRAINTE D’UNE BAISSE D’EXIGENCE

L’objectif n’est pas de remplacer les audits externes, mais de les compléter.

L’auto-audit s’inscrit dans une logique de routine, de prévention et de responsabilisation.

DOUTE SUR L’OBJECTIVITÉ

En s’appuyant sur des preuves concrètes (photos, données), l’évaluation devient plus factuelle, donc plus fiable.

MANQUE DE TEMPS

Fractionner les audits en modules ciblés les rend compatibles avec le quotidien d’un point de vente, sans surcharge.

Mettre en place l’auto-audit avec Idelink

Idelink permet de déployer une démarche d’auto-audit efficace, mobile et pilotable en temps réel.

Appli Audit point de vente

1. CRÉATION DE GRILLES PERSONNALISÉES

Impliquez vos équipes terrain pour des audits réellement utiles.

La force d’un bon auto-audit repose sur des grilles ciblées, pertinentes et concrètes. Avec Idelink, vous avez la possibilité de co-construire vos grilles avec les équipes terrain, pour vous concentrer sur ce qui compte vraiment.

En appliquant le principe du 80/20, vous priorisez les points de contrôle à fort impact, qu’ils soient liés à la sécurité, à l’expérience client ou au respect des procédures internes.

Résultat : des audits mieux perçus, mieux réalisés… et plus efficaces.

2. PLANIFICATION DES AUDITS

Structurez la récurrence sans créer de surcharge.

Idelink intègre une fonctionnalité de planification automatisée des audits.

Définissez des fréquences par type d’audit, affectez des responsables, et programmez des rappels automatiques à destination des équipes concernées.

Chaque point de vente connaît ainsi précisément ses échéances, et l’historique est conservé pour suivre l’assiduité.

3. DIGITALISATION DE L’AUDIT

Des audits terrain 100 % mobiles, faciles à réaliser.

Depuis l’application Idelink, les auto-audits sont réalisés directement sur smartphone ou tablette, à partir de checklists interactives.

Chaque point est documenté par une photo justificative, un commentaire et un score automatique généré à la volée.

Ce format digital réduit les erreurs de saisie, améliore la traçabilité, et facilite la remontée d’information terrain.

4. SUIVI EN TEMPS RÉEL

Analysez instantanément les écarts et priorisez vos actions.

Les résultats des audits sont agrégés dans un tableau de bord dynamique.

  • Visualisez les résultats par point de vente ou équipe
  • Identifiez les écarts récurrents
  • Suivez l’évolution et mesurez les progrès réalisés

5. PLAN D’ACTIONS ASSOCIÉ

Passez automatiquement de la constatation à l’amélioration.

Dès qu’un écart est détecté, Idelink déclenche un plan d’actions automatisé :

  • Assigné à un responsable
  • Notifié automatiquement
  • Suivi avec relance intégrée

L’auto-audit devient ainsi un véritable levier d’actions correctives.

Les bénéfices mesurables de l’auto-audit

  • Renforcement de la culture qualité : les équipes deviennent actrices de la conformité.
  • Réduction des risques : problèmes identifiés et corrigés en amont.
  • Gain de temps : plus besoin d’attendre une visite de contrôle pour détecter un écart.
  • Communication facilitée : les points de vente et les têtes de réseau partagent les mêmes données.
  • Suivi objectivé : chaque point de vente est évalué sur des indicateurs clairs.

Optimisation point de vente

Conclusion

L’auto-audit n’est pas un substitut à l’audit externe, mais un complément indispensable pour faire de l’excellence terrain une réalité quotidienne.

Avec une solution comme Idelink, vous passez d’un contrôle ponctuel à une logique d’amélioration continue, incarnée par vos équipes elles-mêmes.

Le résultat ? Un réseau plus rigoureux, plus autonome, et plus performant.

👉 Demandez une démo personnalisée de Idelink pour découvrir comment intégrer l’auto-audit dans votre réseau.

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Mesurer l’impact de sa communication points de vente

Coordonner les actions d’un réseau nécessite une communication bien maitrisée. Pour autant, la sensation de lancer une bouteille à la mer est encore bien présente au moment d’envoyer un mail aux points de vente. Comment y remédier ?

 

A.G. le 20/04/20

 

Pourquoi une enseigne a-t-elle tant besoin de communiquer avec ses points de vente ? C’est assez basique de le rappeler mais la rentabilité d’un réseau vient de ses points de vente (Si on met de côté le e-commerce). La tentation de mettre des caméras partout pour être sûr que tout soit bien fait n’étant pas vraiment la solution, il faut accepter de faire confiance aux équipes terrain. Cette confiance ne veut pas dire qu’il faut laisser les équipes sans les guider, mais plutôt leur donner de la visibilité sur la stratégie du réseau, et les accompagner dans les actions à mener.

 

C’est là que le bât blesse : comment communiquer au mieux les informations opérationnelles du réseau, les chiffres et analyses, les informations du siège pour anticiper, les actualités chaudes, etc. sans noyer ses équipes sous un millier de mails ? C’est à ce moment qu’apparaissent un certain nombre de problèmes :

 

Les dangers de l’information réseau : intermédiaires, quantité, déperdition, feedbacks et appels…

 

Les Intermédiaires : Les Directeurs Régionaux sont les relais entre le siège et les magasins mais ils ne peuvent passer leurs journées à jouer les passe-plats car cela ne leur laisserait plus de temps pour animer leurs magasins. (Et ce rajout d’un intermédiaire va freiner l’information)

 

La quantité d’informations : Abreuver le réseau d’informations sur la façon dont ils doivent travailler est contre-productif : cela revient à noyer les messages importants au milieu d’une forêt de mails sans relief, dont des « annule et remplace », des « copie pour info » et autres « oups, la pièce jointe ».

 

La déperdition d’informations : Comment être sûr que vos mails sont bien lus ? Ont-ils seulement été ouverts ? Certaines fois ils ont été vus par une personne qui a été sollicitée par un client et elle n’a pas relayé l’information…

 

Les feedbacks : Communiquer avec un réseau peut parfois ressembler au lancement d’une bouteille à la mer. Le message est-il lu ? Compris ? Relayé ? Planifié ? Mis en place ? La notion de confiance est ici forte, mais laisse parfois place à la déception lors des visites en points de vente.

 

Les appels : Appeler les équipes revient à choisir pour elles le moment pour communiquer alors que les contraintes opérationnelles sont de leur côté. Qu’elles soient avec un client, en train d’avancer sur une tache, ou en pause, la probabilité de tomber au bon moment n’est pas très élevée…

 

 

Une fois ces contraintes listées, il convient de trouver les recettes qui permettent d’être le support des points de vente, et non l’inverse, y compris dans la communication.

 

Gagner en impact : Ritualiser, structurer, adapter et demander du feedback sur sa communication

 

  • Ritualisez votre communication.

Pour que les équipes puissent intégrer ces moments de communication à leur programme, faites-en un rituel ! Un point téléphonique ? Une newsletter du siège ? Un mail du matin ? Un lancement de période forte ? Si ce rendez-vous est prévu et devient une habitude, votre interlocuteur sera disponible et recevra bien mieux le message.

  • Structurez votre communication.

Pour vous assurer que chaque message envoyé soit un message reçu, assurez-vous que son destinataire sache qui l’envoie et pourquoi. C’est en utilisant le bon support, à la bonne fréquence, et par le bon canal, que votre communication fera mouche.

  • Organisez le feedback.

On dit souvent que même le silence est un message. Mais lequel ? Si vous n’organisez pas le feedback, vous ne le saurez probablement jamais. Mais imaginez à l’inverse recevoir 200 mails de retour ! C’est en étant précis sur la réponse que vous attendez, avec un outil qui centralise les retours, que vous aurez les réponses à vos questions.

Faire un bilan après une période forte ? Obtenir du feedback sur les supports ? Passée la crainte des retours négatifs, vous constaterez que la démarche du feedback régulier s’avère vertueuse…

  • Adaptez-vous aux contraintes terrain.

Un dernier conseil : Si vous voulez communiquer efficacement avec votre interlocuteur, adaptez-vous à ses contraintes ! A quel moment de la semaine / de la journée est-il disponible ? De quelles informations a-t-il besoin ? Le moyen de communication est-il réellement adapté à ses contraintes ? Est-ce qu’une application mobile ne serait pas plus pratique qu’une boite mail sur la caisse ? En répondant à ces questions que vous gagnerez, et ferez gagner vos messages, en impact.

 

Vous l’aurez compris, communiquer avec un réseau de points de vente ne s’improvise pas, et c’est autant une question d’empathie que d’outil adapté.

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Antoine GARBEZMesurer l’impact de sa communication points de vente
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Visites terrain : passez du constat à l’action.

Dans un réseau de points de vente, les visites terrain ne doivent pas se limiter à une simple présence physique. Elles représentent un levier puissant pour améliorer l’excellence opérationnelle, identifier les écarts, booster la performance commerciale et renforcer l’engagement des équipes.

Encore faut-il structurer ces visites, en tirer des actions concrètes, et suivre dans le temps leur impact.

 

DE LA TOURNÉE AU PILOTAGE RÉSEAU

Le responsable de secteur ou directeur régional est bien plus qu’un visiteur : c’est un pilote de performance locale. Ses visites sont des temps forts pour :

  • évaluer la mise en œuvre des standards réseau,

  • détecter les signaux faibles sur le terrain,

  • accompagner les équipes dans leurs priorités.

Avec Idelink, chaque visite est préparée, tracée et suivie dans le temps. Les check-lists sont personnalisables, les comptes-rendus sont harmonisés, les plans d’actions sont centralisés et surtout, mesurables.

ADAPTER LA VISITE AUX ENJEUX DU MOMENT

A chaque période ses objectifs de visite :

  • Au début d’une période clame, il convient de définir sa roadmap en lien avec stratégie réseau, puis de la dérouler : c’est le moment où les équipes sont le plus disponibles, on peut donc les manager de façon participative et/ou et délégative : Faire grandir, autonomiser, compléter ses équipes, créer de la cohésion et de l’adhésion, travailler la confiance…

 

  • La période juste avant un pic d’activité consiste à préparer (Planifier, donner stratégie, donner les moyens, contrôler…) et motiver. (Avoir des équipes gonflées à bloc pour le démarrage) c’est le moment d’ouvrir les yeux et de manager de façon persuasive !

 

  • L’objectif du management en période forte est simple : performer. Le management se fait plus directif : Il faut contrôler que la mise en place soit parfaite, que les équipes soient motivées, les challenger et les aider dans leur gestion des priorités. C’est également le moment d’être présent à leurs coté pour les aider si besoin.

 

  • Juste après ce pic d’activité, n’oublions pas le débrief : faire prendre du recul sur le vécu pour récolter de l’expérience : Qu’as-tu appris ? Comment ferais-tu autrement ?

 

  • Et nous voici revenus au début de la période calme. Attention, pour une période de 3 mois par exemple, avec le débrief et la roadmap au début et la préparation à la fin, on peut vite se retrouver avec 2 visites seulement pour le travail du fond !

 

Si chaque période a ses objectifs & Key Performance Indicators (KPI) alignés avec la stratégie du réseau, chaque visite se doit donc de poursuivre ces objectifs et KPI. Ainsi, en améliorant ses visites, on optimise la stratégie du réseau… Alors comment faire ?

 

 

LA TRAME DE VISITE : L’OUTIL DE BASE D’UNE EXIGENCE COMMUNE

 

Il est temps de s’en remettre à l’intelligence collective : si un DR a les meilleurs résultats en contact client, il a sans doute les bonnes recettes d’animation, si un autre a les meilleurs indicateurs de stock, il a forcément des best practices à partager à ses collègues. C’est donc tous ensemble qu’il est possible de construire la meilleure trame de visite : s’appuyer sur les points forts de DR pour les développer tous ensemble et faire gagner le réseau.

 

A ce propos, si vous vous posiez encore la question : Oui il faut formaliser les visites. Pourquoi ? ça permet de se mettre d’accord avec son responsable de magasin, de lui faciliter le débrief avec son équipe, de voir la progression de visite en visite, de gagner en objectivité (avec des photos), d’avoir des traces en cas de litiges, etc… (et dans le cas d’un franchisé c’est contractuel) Si la crainte est de perdre en relationnel lors de la visite, il s’avère qu’en réalité un outil intuitif vous fera plutôt économiser du temps pour échanger.

 

UNE TRAME DE VISITE OU DES TRAMES DE VISITES ?

Nous l’avons vu : Il existe plusieurs objectifs de visite, il vous faut donc plusieurs trames.

  • Période calme : les visites sont plus longues et plus approfondies: audit, échange sur les chiffres, coaching, parcours client, etc…. Il est donc intéressant de refaire le support de visite en début de période et d’y ajouter éléments de la stratégie, y compris concernant les attitudes attendues. (Plus de temps pour l’observation) S’il existe un service audit, vous pouvez lui créer une trame plus complète. Vous pouvez aussi diffuser des trames d’auto-audit pour faire gagner vos équipes en autonomie…

 

  • Préparation des périodes fortes : il convient de motiver et de préparer lors d’une réunion régionale, mais aussi de s’assurer individuellement que tout le monde est prêt avec une checklist commune. (Stock, fournitures, plannings, équipe, challenge, animation, etc…) Pas de place pour le doute !

 

  • Période forte : Pas de temps disponible en point de vente et un manque absolu de recul. Place aux visites flash pour réajuster la gestion des priorités et régler rapidement les soucis car un grain de sable peut vite se transformer en catastrophe. Il est temps de mettre en place un support de visite rapide et efficace orienté performance avec des préconisations claires et précises. Aidez également vos équipes à replanifier leurs retards, c’est la clef !

 

Lors de cette période, les visites se font plus courtes pour faire le plus possible de points de vente dans un temps restreint. Bien évidemment, il convient ensuite d’aller aider là où il y en a besoin.

Comme vous pouvez le constater, les visites commerciales sont non seulement un moment spécial, mais elles peuvent aussi être un élément de votre stratégique. C’est en alignant tout le réseau sur une exigence commune que le ferez grandir pour performer tous ensemble.

TRANSFORMEZ VOS VISITES EN LEVIER STRATÉGIQUE

Avec Idelink, structurez vos trames de visites, adaptez-les à chaque période clé, suivez les plans d’actions, et harmonisez les pratiques sur l’ensemble de votre réseau.

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Antoine GARBEZVisites terrain : passez du constat à l’action.
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Le challenge équipe magasin : 7 astuces pour garder vos équipes « à bloc »

Dans un contexte où les réseaux de points de vente doivent conjuguer exigence commerciale, cohérence opérationnelle et engagement humain, le rôle des équipes terrain est plus que jamais central. Leur motivation, leur capacité à se mobiliser collectivement et à incarner la stratégie de l’enseigne sur le terrain conditionnent directement les résultats.

Pour nourrir cet engagement, les challenges commerciaux se révèlent être de formidables leviers. S’ils sont bien pensés, bien rythmés et bien pilotés, ils stimulent la dynamique d’équipe, transforment les temps forts en opportunités de progression, et renforcent l’adhésion à la stratégie de l’entreprise.

Idelink, avec ses modules flexibles et adaptés aux réalités du terrain, offre une plateforme sur mesure pour concevoir, animer et suivre ces challenges de manière simple, motivante et impactante. Bien plus qu’un outil, c’est un véritable chef d’orchestre de vos opérations commerciales terrain.

1. Définir des objectifs clairs et atteignables

Un challenge efficace commence par des objectifs alignés avec les priorités de l’enseigne.
Panier moyen, taux de transformation, vente d’un produit stratégique, NPS… vos indicateurs doivent être clairs, mesurables et atteignables pour mobiliser tout le monde.

 

 

2. Segmenter les participants pour plus d’équité

Rien de pire qu’un challenge déséquilibré. Pour éviter qu’un petit magasin se compare à un flagship, Idelink permet de créer des groupes par typologie, région ou format. Résultat : plus d’équité, donc plus de motivation.

 

 

3. Communiquer régulièrement et efficacement

Un challenge vivant, c’est un challenge qui parle !
Actualités, vidéos, classements intermédiaires, messages de motivation… avec Idelink, vous animez l’opération comme un média, et gardez le lien avec vos équipes sur la durée.

 

4. Suivre la performance en temps réel

Pendant toute la durée du challenge, suivez les résultats et adaptez vos messages.
Grâce aux tableaux de bord Idelink, les managers visualisent l’évolution et peuvent ajuster leurs actions rapidement.

 

 

5. Valoriser les réussites et partager les bonnes pratiques

Les top performers ne sont pas seulement là pour être récompensés : ce sont aussi des sources d’inspiration. Mettez-les en avant, partagez leurs méthodes, créez une dynamique de progrès collectif dans tout le réseau.

 

 

6. Intégrer des éléments ludiques pour stimuler l’engagement

Badges, niveaux, quiz, animations visuelles… la gamification est un levier puissant d’engagement. Avec Idelink, vous pouvez facilement injecter du fun dans vos opérations commerciales.

 

 

7. Analyser les résultats pour améliorer les futures initiatives

Un challenge bien terminé, c’est un challenge bien analysé.
Avec Idelink, récupérez les résultats, comparez les performances, et préparez déjà la prochaine édition sur une base solide.

 

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Comment dépasser le clivage Siège – réseau ?

La distribution de produits ou de services en points de vente nécessite de coordonner nombre d’actions au niveau du siège, et de les mettre en place sur le terrain. Pas si facile cependant à diffuser…

Ah le clivage siège réseau… Clivage ? Vraiment ? Vous ne trouvez pas ce mot un peu fort ? On parle bien de personnes qui travaillent pour une même enseigne, qui partagent une même vision… Si les premiers œuvrent pour faciliter le travail des seconds, les choses devraient être simples, non ? Et si les seconds font de leur mieux pour mettre en œuvre les stratégies imaginées par les premiers, tout le monde fonctionne à l’unisson, n’est-ce pas ?

Pourtant il arrive encore d’entendre au détour d’une machine à café* : « tant pis pour les points de vente retardataires, ils n’avaient qu’à répondre dans les temps. » Ou en tendant l’oreille au fond d’un magasin* : « Au siège ils pensent qu’on est à l’affût de nos mails derrière la caisse ? » Alors, pourquoi ces grains de sable dans les rouages de la plupart des réseaux ?

Les équipes siège vu du point de vente : manque d’engagement, de communication et d’empathie.

Petit vis-ma-vie : vous voilà en point de vente. Pas facile d’être au bout de la chaine de décision !

Chaque petite erreur faite au siège finit par se retrouver en magasin. (Voir par y être assumée.) Pas assez de marchandises envoyées ? On perd du chiffre. Trop de marchandises ? On perd du temps et de l’argent en manutention… D’où le sentiment de manque de compétence des personnes du siège.

D’autre part, les demandes affluent souvent des différents services qui voudraient avoir une vision terrain. Elles ne tombent pas toujours au bon moment, ou parfois ils envoient des informations contradictoires. (Ils ne se parlent pas entre services ?)

Si on ajoute à ça l’impression d’être dans le feu de l’action quand les autres n’y sont pas. (Personne ne répond au siège après 18h ni le weekend), des frustrations peuvent naître…

D’autant que, le réseau devant être homogène, les équipes terrain peuvent se sentir bridées de ne pouvoir prendre d’initiatives individuelles (alors que c’est en magasin qu’on connait le mieux les clients !)

Pour finir, un problème de taille : la gestion des mails en point de vente peut vite se révéler compliquée : Quand les lire ? Qui les a lus ? Lesquels sont importants ? De nombreuses infos passent à la trappe… Vous commencez à comprendre d’où peuvent venir ces frustrations ?

Les points de vente vus du siège : peu disciplinés et souvent négatifs.

Changeons maintenant d’angle de vue : nous voici dans un service du siège. Pas facile de coordonner tant de points de vente !

Le manque de visibilité terrain est bien entendu une problématique majeure, qu’on peut tenter de résoudre en demandant souvent des informations aux magasins, avec une deadline de réponse (Mais pourquoi ils nous répondent jamais alors qu’ils se plaignent qu’on ne leur demande pas leur avis ?)

Mais concrètement, à quel moment a-t-on les magasins au téléphone ? Quand ils rencontrent des soucis. (Donc on ne les a jamais quand ça va.)

Le point de frustration, c’est que les services mettent en place des trésors de stratégie et de process, mais s’aperçoivent lors de visites qu’elles sont mal appliquées, voire pas du tout. (Ça sert à quoi qu’on travaille un dispositif s’il n’est pas mis en place ?)

Au final, quand les chiffres ne suivent pas, est-ce que c’est la stratégie qui cloche ou son application ?

Faire ces constats est une première étape, mais la suivante n’est pas tant de trouver un responsable que tenter de rapprocher nos deux populations !

Quelques recettes qui ont fait leurs preuves :

  • Démarrer dans l’enseigne par un passage en magasin pour les services siège – et inversement – est l’occasion de comprendre les contraintes de chacun.
  • Rien de mieux pour apprendre à travailler ensemble qu’un groupe de travail transversal ! Pour actualiser un process métier, préparer une forte période ou choisir entre 2 dispositifs…
  • Personnalisez votre communication ! Pour passer une info, pourquoi ne pas tenter de se mettre en scène dans une vidéo, voilà qui crée de la proximité !
  • Utilisez des outils de communication adaptés au terrain (donc pas des mails), pour maximiser la descente et les remontées d’informations. N’hésitez pas à demander du feedback en période calme sur les collections et évènements.
  • Impliquez les animateurs dans les sujets stratégiques, ce sont eux qui vont redescendre la vision à leurs équipes ! (Et les relancer dans certains cas)
  • Réduisez le nombre d’intermédiaires entre le siège et les points de vente pour créer de la proximité, sans mettre les animateurs régionaux hors du coup.
  • Enfin, c’est la culture terrain de l’ensemble des acteurs de l’entreprise qui permettra à chaque service de mieux comprendre la finalité de son travail. Que ce soit pour aller tester une mise en place, intervenir lors d’une formation terrain, ou pour aider lors des temps forts…

Au final, vous l’aurez compris, connaitre mieux l’autre et ses contraintes est la base incontournable pour arriver à travailler avec lui. C’est en faisant un effort pour prendre en compte ses problématiques et en s’y adaptant qu’on forme une équipe. (Que ce soit avec des outils comme Idélink ou en mettant l’empathie au cœur de la culture d’entreprise.)

Et vous, qu’allez-vous mettre en place pour fluidifier la communication dans votre enseigne ?

*toute ressemblance avec une enseigne que vous connaissez ne serait que purement fortuite.

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