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Retrouvez ici les actualités sur notre solution digitale, mais aussi des contenus sur ce qui anime au quotidien nos échanges avec les réseaux utilisateurs de l’application Idélink.
C’est parce que vous souhaitez rester à la pointe du digital, de l’innovation managériale, de l’excellence opérationnelle et de la fluidité dans la communication que Idélink est un partenaire avant d’être un outil !

 

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    Comment Idélink a révolutionné l’animation à distance chez Leonidas International ?

    Leonidas International, une entreprise présente dans plus de 40 pays avec une multitude de revendeurs et une équipe internationale dispersée, était confrontée à un défi de taille : maintenir une communication efficace et une animation dynamique entre ses équipes, malgré les différences culturelles, le décalage horaire et la barrière de la langue ?

    C’est ici qu’intervient l’application Idélink, une solution SaaS sur mesure qui a permis à Leonidas International de transformer sa manière de collaborer à distance.

     

     

    LE DÉFI :

    Leonidas International avait besoin d’une solution qui lui permette de maintenir une communication fluide et une animation efficace entre ses équipes réparties dans le monde entier, tout en tenant compte des spécificités culturelles et linguistiques de chaque pays. De plus, l’entreprise cherchait à résoudre des problèmes opérationnels tels que la gestion des prévisions, qui était longue et fastidieuse sur des fichiers Excel.

     

    LA SOLUTION :

    En s’appuyant sur Idélink, Leonidas International a trouvé la solution à ses problèmes. Idélink offre une gamme de fonctionnalités essentielles pour une communication et une animation efficace à distance, telles que les notifications en temps réel, la traduction automatique intégrée et un ciblage facile des messages. Aussi, grâce à la personnalisation sur mesure offerte par Idélink, Leonidas International a pu développer des fonctionnalités spécifiques pour répondre à ses besoins uniques, tels que la gestion des prévisions et l’animation des revendeurs.

     

    L’IMPACT : 

    Grâce à Idélink, Leonidas International a transformé sa manière de travailler à distance. La communication entre les équipes s’est améliorée de manière significative, les processus opérationnels sont devenus plus efficaces et la collaboration entre les différents départements et pays est devenue plus fluide. La gestion des prévisions, autrefois longue et fastidieuse, est désormais simplifiée et automatisée grâce à Idélink, ce qui permet à Leonidas International de prendre des décisions plus éclairées et de rester compétitif sur le marché mondial.

     

     

     

    Idélink_Leonidas

    L’expérience de Leonidas International démontre comment une entreprise peut surmonter les défis de la communication et de l’animation à distance en adoptant une solution SaaS sur mesure comme Idélink. Grâce à son approche personnalisée et à ses fonctionnalités avancées, Idélink a permis à Leonidas International de maximiser son efficacité opérationnelle, d’améliorer sa collaboration internationale et de rester compétitif dans un environnement commercial en constante évolution.

    Si vous aussi, vous êtes confronté à des défis similaires, découvrez dès aujourd’hui ce que Idélink peut faire pour votre entreprise et demandez votre démo personnalisée par ici : https://www.idelink.fr/demande-de-demo/

     

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    Antoine GarbezComment Idélink a révolutionné l’animation à distance chez Leonidas International ?
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    Optimiser les visites en points de vente : transformer une contrainte en opportunité de croissance

    La visite en point de vente, également connue sous le nom de « visite terrain », est une pratique essentielle dans les réseaux qui offre une occasion unique d’améliorer les compétences et les performances des collaborateurs.
    Cependant, très souvent elles sont perçues comme une tâche fastidieuse, une liste interminable de vérifications à effectuer, parfois accompagnée de recadrage ou simplement considérée comme « une obligation légale » dans le cadre d’une franchise. Cette approche, souvent teintée de négativité, peut engendrer une atmosphère de surveillance plutôt que d’encouragement au sein des équipes.

    Pourquoi ne pas envisager ces visites sous un angle différent ? Plutôt que de les considérer comme une corvée, elles pourraient devenir une opportunité de dynamiser les équipes, de prendre du recul et de renforcer les exigences de qualité.

     

     

    TRANSFORMER LA VISITE EN UN MOMENT D’ÉCHANGE DYNAMIQUE ET INSPIRANT.

     

    Avant de se rendre en point de vente, il est essentiel de définir des objectifs clairs, de préparer un itinéraire efficace et de collecter les outils et les ressources nécessaires, tels que des questionnaires d’évaluation et des supports de formation.

    Voici quelques conseils pratiques pour tirer le meilleur parti de ces journées d’échanges avec les équipes :

     

    CHANGER LA PERSPECTIVE : 

    Les visites en point de vente sont souvent perçues de manière négative, mais elles pourraient être une source d’inspiration et de motivation pour les équipes. Plutôt que de les considérer comme un simple constat de problèmes, elles devraient être vues comme une occasion de prendre du recul, d’identifier les axes de progrès et de renforcer les compétences des équipes.

     

    UNE APPROCHE POSITIVE :

    Utiliser une trame unifiée pour tout le réseau est essentiel pour harmoniser les sujets et aligner les visites avec la stratégie globale de l’enseigne, que ce soit en termes de merchandising, d’opérations commerciales, de Trade Marketing, …
    De plus, il est important de faire constater les points à améliorer par les équipes elles-mêmes en premier lieu afin de les impliquer, de comprendre les enjeux et de concentrer les commentaires sur des axes de progrès sur des solutions constructives plutôt que sur les problèmes.

     

    INTÉGRER DES PHOTOS POUR FACILITER LES DÉBRIEFS :

    La documentation visuelle est un élément clé pour illustrer les points soulevés lors de la visite en point de vente. Il est important de prendre des photos pour illustrer les constats, les choses à améliorer ou les bonnes pratiques à maintenir lors de la visite. Formaliser un compte-rendu détaillé permettra de faciliter un débriefing immédiat du manager avec ses équipes, en utilisant les outils de reporting.

     

    SUIVI ET AMÉLIORATION CONTINUE :

    Il est essentiel de suivre les plans d’action issus des visites en point de vente afin de s’assurer que les mêmes constats ne se reproduisent pas lors des visites suivantes, par la mise en place d’outils de suivi et de gestion des actions correctives pour garantir une amélioration continue des performances.

     

    En conclusion, les visites en point de vente représentent bien plus qu’une simple obligation légale ou un constat de problèmes. Avec la bonne approche et les bons outils, elles peuvent devenir des moments privilégiés de développement et de renforcement des compétences pour les équipes sur le terrain.

     

     

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    Idélink offre une solution digitale qui facilite les visites en point de vente. Avec notre application mobile, l’animateur et le collaborateur ont la possibilité de remplir ensemble la trame sur le terrain, ce qui permet de s’accorder le jour même de la visite sur les constats et d’éviter les surprises à postériori. La possibilité d’inclure des photos dans les comptes-rendus favorise le débriefing immédiat du manager avec ses équipes.

     

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    Antoine GarbezOptimiser les visites en points de vente : transformer une contrainte en opportunité de croissance
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    Use Case Norauto : les auto-checks et le geste parfait

    Gaëlle Mbodj est Leader Expérience Client et Connaissance Client chez Norauto France. Elle est dans l’enseigne depuis 10 ans, elle est passée par l’e-commerce et le parcours client web avant de se rapprocher du réseau de centres il y a 4 ans.

     

    NORAUTO France, est le leader français du centre-auto, avec plus de 6 500 collaborateurs dans 400 centres environ.

    NORAUTO est une enseigne de MOBIVIA Groupe, composée de plus de 23 000 collaborateurs dans 18 pays différents.

     

    De la mission Norauto aux checklists gestes parfaits

     

    Pour comprendre pourquoi Gaëlle a fait appel à nous, revenons à la Mission que Norauto s’est donnée :

    « Rendre accessible à chaque automobiliste nos solutions durables de mobilité »

     

    Cette mission se décline en plusieurs stratégies. Celle du service Expérience client est celle-ci :

    « Retrouver le Geste Métier Parfait dans tous les métiers, quel que soit le rôle de chacun au service de l’expérience client. »

     

    Cette promesse se décline en plusieurs process, dont des checklists d’auto-évaluation sur les gestes parfaits à effectuer, en magasin comme en atelier, afin de garantir la satisfaction client. Ces checklists sont élaborées et révisées régulièrement avec les équipes terrain

     

    Les premiers essais

     

    Historiquement il existait des checklists crées avec les utilisateurs finaux, celles-ci étaient envoyées par mail, imprimées dans les centres pour être remplies en magasin et en atelier, puis ramenées au bureau pour être saisies.

     

    Ce process a révélé quelques soucis :

    • Feuilles imprimées en plusieurs fois, donc plus à jour
    • Saisies oubliées par manque de temps (car double saisie papier + ordinateur)
    • Incompréhensions dans les retours (sans photos pour les expliquer)
    • Retours peu qualitatifs

     

    L’idée semblait être bonne, mais le process patinait.

    C’est alors que les équipes de Gaelle se sont intéressées aux outils utilisés par les équipes des centres (afin de ne pas imposer un outil de plus).

    Tous les collaborateurs norauto ayant un mobile, il y avait une volonté de l’utiliser, du vendeur au mecano en passant par le directeur de centre.

     

    Fluizy dans les centres Norauto

     

    Un outil mobile semblait bien évidemment le plus adapté. L’un d’entre eux, Fluizy (le nom d’idélink chez Norauto) était plébiscité par les équipes de Franchisés depuis quelques années, où il était utilisé afin de :

    • Saisir les quantités de produits souhaités pour les opérations
    • Bénéficier de bons plans,
    • Mettre en place des opérations de communication,
    • Répondre à des sondages et s’inscrire à des évènements
    • Recevoir des vidéos et des actualités

     

    Il avait été déployé plus récemment dans les succursales au vu du succès en Franchise, pour le même type d’usages. Un module gondoles a également été développé pour choisir ses gammes de produits en fonction de la taille des rayons de chaque magasin et des préconisations des équipes du siège.

     

    En discutant avec Le directeur de l’innovation de Midas (un de nos clients qui fait également partie du groupe Mobivia), Gaëlle s’est rendu compte qu’il existait un module de checklists chez idélink, utilisé pour faire des comptes-rendus de visite, et nous a contactés afin de l’adapter…

    La création des auto-checks au service des gestes parfaits

     

    De cette envie d’utiliser un outil adapté et de le faire coller aux process est venue cette collaboration :

    • Des tests ont été faits en grandeur nature sur 2 régions entières avec notre outil de démo afin de valider l’outil et les checklists
    • Notre outil de comptes-rendus de visites a été transformé en outil d’auto-check
    • Un puissant outil d’analyse des thèmes utilisés a été développé pour traiter toute la data générée
    • Le déploiement a démarré, avec le passage de 400 utilisateurs à 6500 utilisateurs

     

    Le résultat

     

    Jusquà présent, 2700 audits ont été réalisés avec succès et ont permis de faire passer le taux de conformité de 76% à 81% en seulement un an.

    Toutes les parties prenantes s’engagent résolument dans l’adoption de l’outil et envisagent des expansions significatives :

    • Les équipes d’atelier expriment le désir de l’utiliser pour obtenir la certification d’atelier.
    • Les équipes du siège cherchent à élargir l’utilisation de l’outil à d’autres processus tels que les plans de sobriété énergétique, la sécurité, etc.

    Nous sommes ainsi en train de perfectionner l’outil pour répondre à ces demandes, en nous alignant sur les processus de nos clients (plutôt que de leur imposer des changements) et en mettant l’accent sur une expérience utilisateur simple et intuitive (priorisant l’aspect opérationnel).

     

    Par ailleurs, des réflexions sont en cours concernant la gamification de l’outil afin d’unifier ses diverses utilisations, et de l’étendre à d’autres pays Norauto.

     

     

    The best is yet to come !

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    Antoine GARBEZUse Case Norauto : les auto-checks et le geste parfait
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    8 astuces pour coordonner et piloter ses opérations commerciales réseau.

    La mise en place d’une opération commerciale en point de vente demande anticipation et minutie. Au niveau du réseau, comment créer les conditions d’une opération réussie pour tous ?

    Qu’elles soient préparées de longue date ou dégainées en réaction aux promotions d’un concurrent, les opérations commerciales ont un but bien précis : créer du trafic en point de vente.

    La génération de ce flux client est d’ailleurs bien souvent le nerf de la guerre, ce qui fait l’attractivité d’un franchiseur… et la notoriété de la marque ne suffit pas toujours.

     

    Le calendrier des opérations est souvent bien calibré à l’avance, en fonction des saisonnalités, des collections, des besoins des clients, de l’historique, etc…

     

    Mais une fois décidé, comment optimiser leur déploiement sur le terrain ?

    Idélink vous livre ses 8 astuces pour coordonner et piloter vos opérations commerciales :

     

    1/ Univers & identité visuelle

    Pour vos clients, vous réfléchissez à une campagne de communication avec une identité visuelle forte, mais pour vos équipes ?

    Immergez-les dès le départ dans l’univers de votre opération commerciale !

    À chaque information que vous leur envoyez sur le sujet, ajoutez des visuels, diffusez leurs les Vidéos destinées aux réseaux sociaux bien en amont.

    Et si les équipes jouaient le jeu jusque dans leurs tenues ou la décoration de leur salle de pause ?

     

    2/ Produits & services

    Il n’y a pas que le prix dans la vie !

    Avant que l’opération commence, pensez à centraliser et diffuser les informations sur les produits et services concernés, afin que les équipes qui seront au contact des clients sachent les valoriser.

     

    3/ Rétroplanning

    Chaque service ou presque est concerné par les opérations commerciales, que ce soit le merchandising, le transport, le marketing, etc. Pour autant, ce qui intéresse les équipes, c’est le timing des informations, des arrivages, des actions à mener… Regroupez donc les infos de tous les services en fonction du timing dans lequel les points de vente doivent les assimiler ! Un bon rétroplanning les aidera à ne rien oublier !

    Et si vous lanciez un Quiz pour valider que tout le monde a bien tout assimilé ?

     

    4/ Indicateurs

    Chaque opération commerciale a un but : pensez à le communiquer aux équipes avant… Et à le mesurer pendant à l’aide d’indicateurs objectifs.

    Encore mieux : et si vous lanciez un challenge sur ces kpi ?

     

    5/ Animation

    Au lancement d’une opération, tout le monde est focus, mais comment garder tout le monde en énergie jusqu’au bout ? C’est par l’animation que ça passe ! Faire une visioconférence en amont pour rappeler les étapes, demander aux équipes terrain de faire une réunion avec leurs équipes, les alerter avec des updates pendant l’opération, animer le challenge de façon immersive avec une application adaptée…

    Et si vous prépariez pour vos équipes terrain un kit clef en main pour animer leurs réunions en point de vente ?

     

    6/ Mise en place

    Quoi de plus frustrant que de préparer une opération réseau mais de ne pas pouvoir en voir le résultat le jour J ? On se lance alors dans une folle tournée de visites flash, on enquille les kilomètres, on demande des photos de réalisations à ses directeurs régionaux qu’on reçoit sur whatsapp, sur drive, par sms… un résultat forcément subjectif mais qui rassure (ou pas) sur la réussite qualitative de l’opération avant d’en mesurer la réussite quantitative coté chiffres. (et de rectifier si besoin)

    Mais si l’idéal c’était de demander à chacun d’évaluer sa mise en place avec des critères objectifs et des photos via une application dédiée pour pouvoir suivre le déploiement objectivement et sereinement à distance ?

     

    7/ détecter les points de blocage

    Un grain de sable dans les rouages peut, à distance, prendre des proportions considérables. Un souci d’approvisionnement ? Une plv pas arrivée ? Une incompréhension ? L’important est avant tout de s’en rendre compte rapidement pour rectifier au plus vite.

    Un pourcentage de non-conformité trop fort est une information qui n’a d’intérêt que si on sait facilement où ça coince !

     

    8 / Partager & célébrer !!

    Parce qu’un réseau c’est plus qu’une somme de points de vente isolés, il est important de partager les plus belles réussites ! Cela permet de valoriser les équipes en réussite et de donner des idées aux autres.

    Diffuser des photos ou vidéos d’autres points de vente via un canal mobile, ça a beaucoup plus d’impact que via un mail à lire en caisse entre 2 clients !

     

    Vous l’aurez compris, la pertinence d’une opération commerciale se décide au siège, mais lors de sa mise en place, il est primordial de basculer en mode terrain pour une exécution parfaite. Cela demande un bon mindset, de bons outils et une bonne dose d’énergie !

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    Antoine GARBEZ8 astuces pour coordonner et piloter ses opérations commerciales réseau.
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    Soldes: Vos équipes magasin ont le nez dans le guidon ? Voici 4 astuces simples pour les aider…

    Toute l’année vos équipes sont entrainées à gérer leurs priorités. Alors pourquoi manquent-elles d’un coup de recul lors des soldes ? Et surtout : comment les aider ?

    L’enjeu des soldes, c’est la situation de stock pour la saison à venir !

    Vous n’avez donc pas le droit de vous louper.

     

    Pour répondre à ce défi, il y a une grosse charge de travail en magasin.

    La baisse des marges ne permet pas de surinvestir en heures, alors on fait monter la productivité… Et c’est la gestion des priorités qui en prend un coup !

     

    Plus d’opérationnel = moins de recul

     

    Les équipes manquent de recul pendant la préparation, et cela ne leur permet plus de réajuster l’ordre de leurs priorités. C’est pour palier à ceci que les animateurs passent à un management plus directif.

     

    Le réseau est alors Focus sur l’opérationnel et les résultats… Et met de côté le relationnel et l’autonomie.

     

    Et l’énergie des équipes ?

     

    L’avantage d’un management plus directif pendant les soldes est que cela fait gagner du temps aux équipes et diminue leur charge mentale. Ce faisant, on en oublie certains désagréments :

    • L’inconvénient principal, c’est qu’on puise dans leur énergie en supprimant la donnée relationnelle et en diminuant leur autonomie, provoquant un sentiment d’infantilisation.
    • Le 2ème inconvénient c’est qu’elles ne montent pas en expérience: La pyramide des apprentissages d’Edgar Dale nous démontre qu’on retient 75% des messages par la pratique, et seulement 10% en les lisant.
    • Enfin le 3ème, c’est le manque de sens donné aux actions par manque de temps. On puise alors dans la confiance entre l’enseigne et les équipes terrain.

     

    Alors comment remédier à ces 3 effets ?

     

    Il convient dans un premier temps de s’interroger sur les besoins des équipes lors de cette (ou plutôt de CES) période(s).

     

    En effet il faut distinguer :

    • La préparation, durant laquelle les équipes ont besoin de sens (que les résultats ne leur donnent pas), d’anticipation, de préparation mentale, de recul…

    Elles ont donc besoin qu’on les aide à agir sur leur environnement pour se sentir prêtes à la grosse période. On est ici face à un enjeu de PROJECTION (cf la boussole des attentions de Dominique Boullier)

     

    • La période de soldes en elle-même durant laquelle les équipes ont besoin de repères, d’informations pour gagner et réactivité, de soutien…

    Elles ont besoin d’un œil extérieur ou de données objectives pour se comparer et réagir le cas échéant. On est ici, toujours selon Dominique Boullier, face à un enjeu d’ALERTE.

    Quels outils de projection et d’alerte pour rester autonomes ?

     

    Pour diminuer la charge mentale des équipes sans leur enlever leur pouvoir de décision, il existe un outil simple : LA CHECKLIST. Mais à condition de bien s’y prendre :

     

    1/ Diffuser la stratégie et impliquez sur les thèmes : DU SENS

    Il est important en amont des soldes de trouver un moyen pour impliquer les équipes, de sorte qu’elles ne subissent pas les soldes.

    Il faut donc donner un maximum de SENS, en réunion régionale par exemple.

    De ce sens découle une stratégie définie par le siège, qu’on peut décliner en plusieurs thèmes : le merchandising, la gestion de la marchandise, la gestion humaine, etc…

    Et c’est sur le contenu de ces thèmes, sur les process, qu’il est important d’impliquer les équipes, afin de se mettre d’accord sur le COMMENT.

     

    2/La Checklist de PROJECTION

    Une fois la préparation lancée, les équipes doivent pouvoir s’appuyer sur un outil simple et évolutif, accessible par leur animateur régional, afin de garder le cap. Il est ici question des fameux process définis en réunion, ainsi que de résultats prévisionnels chiffrés. (Productivité planifiée, atterrissage colis, flux client, etc…)

    L’animateur peut alors, s’il perçoit un décrochage, intervenir rapidement pour aider le magasin à recaler ses priorités.  Si les thèmes sont invariables, le contenu peut tout à fait changer à l’approche des soldes afin de s’adapter à la situation.

     

    3/La checklist d’ALERTE

    La Checklist d’alerte est essentiellement chiffrée car elle doit permettre de donner un état objectif de la situation (et une comparaison aux autres)

    Cette checklist d’Alerte permet de donner de l’énergie à ceux qui sont en avance sur d’autres sujets que le Chiffre d’Affaires, et d’alerter ceux qui sont en retard, qui pourront alors mettre en place des plans d’action définis en amont.

    Le fait de disposer d’un outil partagé permettra à l’animateur régional de venir en aide aux équipes qui ne parviennent pas à redresser la barre.

     

    4/ Les visites

    L’animateur régional passe également en point de vente. Bien sur il fait un compte-rendu rapide, sur les mêmes thèmes que ceux établis avant les soldes. Mais c’est parce que les équipes ont fait le travail d’évaluation opérationnelle qu’il pourra se focaliser sur le fait de donner de l’énergie aux équipes, ainsi que de les aider à trier dans les solutions envisagées à leurs problèmes.

    C’est ce focus relationnel qui permettra aux équipes de tenir sur la longueur et de performer.

     

    Envie de découvrir un outil simple et rapide qui permette de réaliser, diffuser et centraliser vos checklist et comptes-rendus de visite ? Découvrez Idélink et aidez vos équipes à se focaliser sur l’essentiel !

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    Antoine GARBEZSoldes: Vos équipes magasin ont le nez dans le guidon ? Voici 4 astuces simples pour les aider…
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    Les 6 secrets pour une newsletter réseau enfin lue

    La newsletter est un des outils d’animation les plus utilisés dans les réseaux de points de vente. Elle permet de coordonner les équipes et de créer un lien fort à l’enseigne. Encore faut-il qu’elle soit lue…

    La newsletter réseau, un rdv hebdomadaire.

    Aujourd’hui n’est pas une journée classique à la direction réseau : on est jeudi. Et le jeudi, c’est le jour de sortie de la newsletter ! Le timing est serré, comme toutes les semaines…

    Le service juridique vient enfin d’envoyer ses infos après avoir été relancé 2 fois, il ne reste plus qu’à tout faire relire par le directeur réseau, récupérer les illustrations du service communication, et hop, on envoie aux 1200 collaborateurs du réseau !

    Aïe, un mail tombe, il est question de reculer l’opération commerciale car les plvs ont du retard en point de vente… Bon, la newsletter partira exceptionnellement demain avec les bonnes infos !

     

    Dans le magasin de la rue Ste Catherine, Mélanie compte ses caisses pendant que son équipe finit de ranger le magasin. Tiens, bizarre, la newsletter n’est pas encore tombée… dommage, elle voulait justement missionner Julien pour mettre en place l’opération commerciale qui démarre samedi ! Bon, ce n’est pas grave, elle va appeler son directeur régional pour avoir plus d’infos… Ah tiens, justement il est en train d’envoyer les infos de l’opération sur le groupe Whatsapp !

    Cette situation vous semble exceptionnelle ? Elle a lieu dans tous les réseaux.

    Les origines de la newsletter

    L’objectif de la communication réseau, c’est d’harmoniser, de coordonner et de dynamiser ses points de vente. Mais si on envoie toutes les infos au fur et à mesure, les boites mail finissent par exploser et plus personne ne lit les infos. Ou alors c’est la relation client qui en pâtit.

    Alors la newsletter est née de cette double volonté de regrouper pour alléger ET de créer un rituel. Elle arrive toutes les semaines à un moment choisi pour que les responsables de magasins se rendent disponibles afin de traiter ces informations, planifier, déléguer, organiser…

    En voilà une belle intention !

    Dans la réalité ça ressemble bien souvent à une machine à gaz coté siège pour des équipes qui – au mieux – la parcourent en diagonale entre 2 clients et attendant surtout les rappels de leurs animateurs régionaux pour se mettre en action !

     

    Voici donc nos 6 conseils pour une newsletter qui demande moins d’énergie coté siège et surtout qui soit plus lue coté points de vente !

     

    6 astuces pour une newsletter enfin lue !

     

    1/ Retravaillez vos rubriques !

    Les rubriques de votre newsletter sont triées par service ? C’est très pratique pour faire sa newsletter, mais est-ce vraiment ce dont ont besoin les équipes terrain ?

    Leur priorité à eux, c’est de comprendre en un coup d’œil ce qui est urgent, ce qu’il faut planifier, et les informations qui ne nécessitent pas d’actions de leurs part.

    Alors pourquoi ne pas régir votre newsletter avec cette logique ?

    • Les infos: on y retrouve tout ce qui concerne l’enseigne. Une version digitale permet de diffuser l’information de façon synthétique, et la personne intéressée peut approfondir en cliquant dessus.
    • À venir: Cette rubrique vise à donner de la visibilité aux équipes pour planifier au mieux leur activité, mettre les bonnes heures au bon endroit et assurer une coordination opérationnelle optimale.
    • Cette semaine: On passe ici en mode to-do-list pour être sûr de ne rien rater. Au moyen d’une checklist par exemple ? C’est bien plus dynamique et efficace !
    • L’actualité chaude! Cette rubrique a plutôt intérêt à… sortir de la newsletter pour être diffusée au fur et à mesure ! Certains responsables attendent d’avoir un moment de calme pour lire la newsletter, et certaines infos ne peuvent pas attendre ! Un format digital qui va aux équipes terrain sans attendre qu’elles viennent à l’info est primordial ! (Vous pensez à Whatsapp ? il y a bien plus structuré et adapté !)

     

    2/Variez les contenus !

    Ce n’est pas parce qu’on parle d’infos sérieuses qu’on doit utiliser un format rébarbatif !

    Pour mettre les équipes en action il faut des contenus adaptés : des Vidéos de best practices, des checklists d’opérations commerciales, des interviews de gagnants d’un challenge, des quizz de compréhension d’une info…

    Vos équipes ont la bougeotte, donnez-leur un format qui leur correspond !

     

    3/ Pensez bénéfice !

    Mettez-vous à la place des personnes en magasin : qu’est ce qui va les pousser à lire une information plutôt que de s’occuper de leur client ?

    Oui, il faut que le bénéfice pour elles soit présent dès le titre ! Pensez lecture rapide : pas de longues phrases, l’essentiel en gras, structurez avec des puces, illustrez… Bref, donnez envie !

     

    4/ Séquencez !

    Vouloir regrouper les infos pour solliciter vos équipes moins souvent, c’est bien, mais si c’est pour leur envoyer un pavé de 10 pages, le résultat sera le même !

    Vous pouvez donc mettre en place des rdvs à des moments différents : le RDV planification du Lundi, quand on sait que les responsables vont planifier leur administratif, Le RDV infos du jeudi, sur l’un des jours les plus calmes où ils vont pouvoir se poser, et ainsi de suite !

     

    5/ Adressez-vous aux bonnes personnes !

    Vous aimez qu’on s’adresse à vous en se trompant de prénom ? Ça ne donne pas le sentiment d’être estimé, n’est-ce pas ! Et bien c’est pareil avec une information qui ne vous concerne pas, même si c’est « copie pour info ».

    Veillez à utiliser un outil qui permet de cibler, et donc d’atteindre les bonnes personnes avec les bons messages !

    Oui, ça veut dire une newsletter pour les Responsables, une pour les vendeurs, une pour les Franchisés… C’est du boulot en plus ? Oui, un peu, mais c’est surtout un gain de temps et d’énergie pour les équipes en point de vente !

     

    6/ Mesurez !

    Envoyer des newsletters comme une bouteille à la mer ne permet pas de garantir le niveau d’information du réseau : ouvrez une boite mail sur le terrain et vous vous en apercevrez vite !

    C’est la raison pour laquelle il est primordial de mesurer les taux de lecture, afin de réajuster les jours / horaires d’envoi, de tester sur un petit groupe le séquençage dont nous venons de parler 2 points plus haut, bref, de se remettre en question sur un outil primordial !

     

     

    Et si vous avez encore des doutes sur le fait de toucher à la sacro-sainte newsletter, pourquoi ne pas mener une enquête auprès des responsables de points de vente directement ? Ils ont plein d’idées pour en garantir la lecture, tant au niveau des informations que des outils à utiliser !

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    Antoine GARBEZLes 6 secrets pour une newsletter réseau enfin lue
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    Comment structurer sa communication franchise ?

    Pourquoi les franchisés ne lisent pas leurs mails ? Et pourquoi ne répondent-ils jamais ? Ces questions ne sont qu’une face de la médaille dont nous vous proposons d’explorer l’autre face…

    La communication franchise : une affaire de point de vue ?

    La communication entre un franchiseur et ses franchisés est un vaste sujet, mais on peut schématiquement la découper en 2 niveaux

    • Le partenariat : une communication long terme qui vise à partager la Vision de l’enseigne avec les franchisés, à susciter son adhésion.
    • L’animation : une communication plus opérationnelle qui vise à faire coordonner et motiver les équipes terrain, au moyen de process, d’informations produits, d’opérations…

    Cela vous paraît un peu simpliste, n’est-ce pas ?

    Effectivement : car cette vision est celle de l’enseigne. Si on se place du point de vue du franchisé, un véritable entrepreneur, quels sont ses objectifs ?

    • Bénéficier de la notoriété de l’enseigne (augmentation du traffic en point de vente)
    • Bénéficier des produits, outils et méthodes pour optimiser son chiffre et sa rentabilité.

    Vous remarquerez qu’il n’est plus ici question de lien mais bien de besoin.

    Or les besoins de l’enseigne et ceux de ses franchisés ne sont pas toujours alignés, voire compris.

    Les sujets de prédilection coté investisseur ? Le réassort en produits, les opérations commerciales et la communication externe de l’enseigne.

    La stratégie de l’enseigne n’est intéressante que si elle est directement connectée à ce qu’elle va rapporter (ROI) ou économiser.

    En revanche il sera peu enclin à répondre aux sollicitations du siège pour donner des informations ou s’inscrire à des formations s’il ne comprend pas le bénéfice pour lui.

    Il y a donc un réel intérêt à créer ce lien de confiance en donnant constamment du sens aux décisions prises, en rattachant chaque action siège à une stratégie claire, en donnant de la visibilité sur le bénéfice de chaque communication pour le Franchisé.

    Du bénéfice attendu au canal de communication

     

    C’est le moment où vous vous demandez donc COMMENT structurer cette communication ?

    C’est bien simple : en faisant correspondre le bénéfice attendu à un canal :

     

    • La convention: attention contenu premium !

    Usage : La convention permet de dé-zoomer de l’activité et de prendre du recul sur l’année passée pour aborder l’ajustement de la vision de l’entreprise : quelle stratégie va être mise en place ? Quels changements vont arriver en point de vente ?

    Inconvénients : une fois par an et très couteux !

    • La réunion: on passe de l’idée à l’action !

    Usage : Partir des stratégies de l’enseigne pour impliquer les franchisés sur leur déclinaison en process. Ce point est extrêmement important pour susciter l’adhésion et prendre en compte la vision terrain ! (Elle permet également d’aligner le niveau d’exigence)

    Inconvénients : les franchisés ne s’impliquent pas tous de la même manière

    • Le mail: Le grand fourre-tout de la communication franchise !

    Bien utilisé, c’est l’outil par excellence du partenariat car il permet de cibler les bons destinataires et d’obtenir un retour. La lecture des mails se faisant à un moment de disponibilité mentale, ils permettent d’aborder des sujets plus long terme.

    Inconvénients : utilisé comme fourre-tout de la communication, trop d’infos peu utiles y transitent et les équipes terrain finissent par ne plus tout lire. Peu de visibilité sur la consultation à grande échelle, compliqué de retrouver les informations quand on en a besoin…

    • L’intranet: la bibliothèque de contenus !

    Face au nombre de mails et à la complexité d’y retrouver une information à posteriori, l’intranet permet d’inverser le flux et de désengorger les boites mail : c’est le franchisé qui y va lorsqu’il a besoin d’une information. On y trouve donc des informations plus utilitaires, dont l’intérêt ne décroit pas dans le temps.

    Inconvénients : contenu passif très peu utilisé en point de vente

    • Les visites : opérationnel et confiance au cœur de l’échange.

    Les visites sont le moment privilégié pour créer un lien de confiance entre l’enseigne et le franchisé. Il s’agit d’accompagner localement l’adaptation des stratégies opérationnelles de l’enseigne. C’est en aidant le franchisé à prendre ce recul que la relation de confiance va se renforcer.

    Inconvénients : les visites sont espacées et ne correspondent pas toujours aux besoins du franchisé.

    • Application mobile: Alerte sur l’opérationnel

    Le seul moyen d’alerter le franchisé : la notification ! Leur apparition dans tous les réseaux a permis de gagner en réactivité dans la communication entre le siège, les animateurs et leurs franchisés !

    Inconvénients : le plus connu, whatsapp n’est pas structuré : pour cibler sa communication, pour retrouver une information ou pour remonter des informations, l’outil n’est pas adapté. L’aspect sécurité de l’information est également un problème sur cet outil. Préférez-lui un outil adapté et professionnel comme Idélink afin de structurer les échanges !

     

    Sans stratégie claire de communication, le franchisé perd contact avec l’enseigne et toutes les communications passent par l’animateur régional, et la relation de confiance se distend.

     

    C’est en clarifiant avec les franchisés sur le canal par lequel ils vont avoir les informations qu’on évite donc la surcharge informationnelle bien connue des équipes terrain.

    • Des outils « bureautiques » pour travailler le long terme (mails, intranet et réunions)
    • Des outils dédiés à la mobilité pour alerter sur l’opérationnel court terme (application et visites)

     

    Et dans votre réseau, comment gérez-vous les flux d’informations ?

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    Antoine GARBEZComment structurer sa communication franchise ?
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    Cas Client Midas

    Maxime Belmonte est Directeur des Projets, de l’innovation et des Systèmes d’Information chez Midas. Il est dans l’enseigne depuis 15 ans dont 7 ans en tant que Directeur des succursales Midas France.

    C’est lui qui a mis en place Midaslink (la version Midas d’Idélink) en France, en Belgique et en Espagne.

     

    Midas est une enseigne spécialiste de l’entretien de l’Automobile qui appartient au groupe Mobivia.

    Elle compte 750 garages en Europe, dont 360 en France. (30 succursales et 330 franchises)

    La France est découpée en 2 grandes zones où les responsables de secteurs gèrent entre 15 et 25 centres.

    Leur rôle est d’aider le franchisé à avoir des résultats, mais aussi de s’assurer qu’il respecte les chartes Midas.

    Cette logique de partenariat est centrale car l’enseigne comme les franchisés ont un intérêt à ce que les centres performent.

    « Midas est un vrai Franchiseur, c’est notre métier. Nos franchisés sont des TPE, leur job c’est de s’occuper du client. »

     

    1.Situation Initiale

    Midas a contacté Idélink pour résoudre 2 problématiques :

     

    2.Communiquer mieux et plus vite

    En tant que Franchiseur, Midas avait besoin d’informer les équipes terrain, mais aussi d’avoir leur retour :  les Franchisés étant des entrepreneurs Indépendants, ils doivent donner leur accord à Midas sur certains sujets (ex : participer à des promotions, faire du CRM, etc.)

    Le principal souci dans cette relation était le manque de temps : la plupart des patrons étaient sur le terrain, face au client, et ils ne lisaient que 15% de leurs mails.

    L’enseigne avait donc beaucoup de mal à communiquer avec son réseau : les Responsables de Secteur passaient énormément de temps au téléphone à relancer, à téléphoner, etc…

    Un temps qui n’était dès lors plus dédié à aider les franchisés à développer leur commerce.

    Le souci était le même pour diffuser des vidéos aux équipes terrain : elles étaient postées sur l’intranet mais personne ne les regardait car il fallait être sur son PC.

     

    « On a besoin de leur retour sur plein de sujets. Un franchisé, son job c’est le client, il n’est pas sur ses mails, il n’a pas le temps. On avait beaucoup de mal à communiquer avec notre réseau. Il fallait que les responsables de secteur rament derrière. Le mail n’est pas adapté. »

     

    3.Lancement de la centrale d’achats Midas

    Au départ de la centrale, les commandes se faisaient par email : des tableaux excel étaient envoyés aux franchisés.

    50% d’entre eux ne les ouvraient même pas, les autres en retard, cela demandait un retraitement des tableaux pour les compiler et lancer les commandes, donc cela rajoutait du temps et potentiellement des erreurs.

    D’autre part, certaines offres n’étaient pas configurables et ne correspondaient pas aux besoins des franchisés. (les besoins de centres de centre-ville ne sont pas les mêmes que ceux situés en montagne par exemple)

     

    4.Le lancement de Midaslink

    Midaslink a été mis en place en France en 2018 avec 2 modules phares dans un 1er temps:

    • Des sondages

    Le succès de ceux-ci tient à leur simplicité de création coté siège et à leur simplicité pour le franchisé : il reçoit une notification sur son téléphone et répond facilement dans la foulée.

    • Un module Bons Plans

    Là aussi celui-ci a été pleinement pensé pour les contraintes du terrain : le franchisé commande pour son ou ses garages via l’application, l’information arrive directement aux systèmes d’information et la commande part.

     

    L’adoption de l’application s’est faite en 1 semaine pour 60% des franchisés et il a été facile de convaincre les autres puisqu’elle a été pensée pour eux et les aide au quotidien.

     

    « Nous ce qu’on veut c’est pouvoir créer des sondages auxquels les franchisés puissent répondre en 2 clics n’importe où, n’importe quand afin de leur faciliter la vie. Aujourd’hui tout le monde -ou presque- a un smartphone »

    5. Le résultat

    L’application se situe clairement dans la logique de partenariat prônée par Midas : elle simplifie la vie des franchisés et permet à Midas d’être plus réactif et performant.

    • En moins de 48h, réponse de la grande majorité du réseau à un sondage
    • 20% du chiffre d’affaire de la centrale d’achat fait via Midaslink.

    « Ça permet de faire des choses qu’on n’aurait pas pu faire avant. On a mis de plans d’actions commerciaux à faire, on avait des coups à faire pour les franchisés, et on a pu aller vite, clairement on ne l’aurait pas fait sans Midaslink. On communique plus et plus Facilement. »

    Fort de ces résultats sur la problématique de Base, MidasLink a été lancé en Belgique et en Espagne.

    En France, d’autres usages se sont imposés, comme des Vidéos que le Franchisé peut regarder où et quand il le veut. Celles-ci permettent de diffuser des messages de l’équipe dirigeante dans un format plus personnel et impactant (très utile en temps de crise), ou de mettre à disposition des tutos plus parlants.

    Des Challenges ont également été lancés afin de permettre aux franchisés de comparer leurs performances aux centres de leur région.

    La partie Audit est également en cours de lancement et Maxime envisage de déployer Midaslink jusqu’aux collaborateurs pour leur soumettre des vidéos et Quiz lors de leur intégration.

    « Chez Midas on a 3 valeurs essentielles : L’audace, l’exigence et la proximité. Je trouve que l’application correspond bien à ça : L’AUDACE parce que c’est un mode de communication innovant, LA PROXIMITÉ parce que ça nous a permis d’être plus proche de notre réseau et L’EXIGENCE parce qu’on a été exigeants avec idélink et qu’ils ont répondu présent ! »

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    Antoine GARBEZCas Client Midas
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    Des équipes performantes dès la réouverture des points de vente

    Tout comme pour le premier confinement, la fermeture des points de vente est brutale. Laisser les équipes terrain à leurs interrogations sans accompagnement de l’enseigne expose à des surprises lors de la réouverture…

    Comment penser pouvoir garder ses équipes « motivées » quand la définition de ce mot est « Créer chez quelqu’un les conditions qui le poussent à agir »

    Agir en réseau de points de vente, c’est une action qui est toujours orientée client, orientée résultat… Alors quand on met en pause la vente magasin, à quoi peut-on s’en remettre ?

    Nous sommes donc allés fouiller dans les différents types de management (dont l’objet est clairement de créer les conditions pour faire agir les équipes).

    Ceci est valable pour le management comme pour le partenariat, dans le cas de franchisés.

    Si les RESULTATS ne sont plus le moteur immédiat, il est indispensable de passer sur un focus relationnel, sous peine de perdre le bébé avec l’eau du bain.

    Mais comment réagencer son management sans avoir l’impression d’y perdre ses repères ?

    Avant de détailler l’alternance des modes délégatifs et persuasifs, jetons un œil à la courbe du changement :

    Voici donc les 4 étapes indispensables pour aider ses équipes à rester motivées quand le réseau est fermé :

    1/ Écoutez

    En dehors du virus, les équipes ont peur de l’insécurité pour leur entreprise, leur point de vente, leur poste. La peur -comme les émotions en général- a pourtant du mal à s’exprimer en entreprise. Faire s’exprimer en collectif permet d’entendre les interrogations que certains n’osent exprimer. De la colère peut également être verbalisée. Une phase individuelle auprès de ceux qui ne se sont pas exprimés est également importante. Cette expression est nécessaire pour passer la phase du le déni.

    Cette phase est à mener par le manager direct car elle nécessite une grande confiance.

    2/ Rassurez

    Après la nécessaire expression du choc, des reproches peuvent s’installer car il faut un responsable. Une fois qu’il est clair que cette situation n’est la faute de personne, de la tristesse peut s’installer. C’est seulement alors qu’il faut utiliser son management persuasif pour favoriser le rebond. Parler de la mission de l’entreprise, de sa vision, permet de réaligner chacun, de donner du sens. Ces éléments stables sont un moyen de prendre de la hauteur.

    Cette phase peut être faite par les managers auprès de leur équipe, ou lors d’une visio ou vidéo par le responsable réseau, voire le DG.

    Ces 2 premières phases, qui peuvent sembler passives, sont absolument nécessaires pour créer les conditions de la réussite à venir.

    3/ Éclairez la cible

    Rester dans l’arrêt du présent est dangereux, il est donc important de fixer des deadlines, des objectifs, même s’ils peuvent encore bouger. Cette projection est, elle aussi, un exercice de management persuasif car les équipes ne se mettront en action que si elles croient en cette réouverture en fanfare ! Déclinez la vision en stratégies, en buts à atteindre, mais laissez une marge de manœuvre dans les décisions à prendre…

    Il est question d’opérationnel et de confiance, il est donc important que le manager direct en soit le porte-parole !

    4/ Action : place au participatif !

    Co-construire les conditions du succès de la réouverture permet à la fois de garder ses équipes motivées, mais également de créer une véritable adhésion lors de la réouverture ! Les sujets peuvent être nombreux, pour créer des groupes de travail à taille humaine… Il faut penser à un bon moyen de diffusion, avec de l’impact et un relais managérial ! Des sondages sont également un moyen d’impliquer un large nombre de personnes !

    Vous l’aurez compris, pour garder la motivation au cœur et lutter contre la distance physique, la communication et l’identité partagée sont 2 éléments indispensables.

    Idélink met à disposition des équipes en points de vente une application mobile qui permet de maintenir le lien dans cette période de confinement pour favoriser la performance à la réouverture. Pour plus d’informations, consultez l’usage Communication Points de vente de l’application Idélink.

    Et vous, comment allez-vous provoquer votre rebond ?

     

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    Antoine GARBEZDes équipes performantes dès la réouverture des points de vente
  • Et-si-la-clef-de-la-relation-client-était-dans-l’expérience-collaborateur_3.png

    Et si la clé de la relation client était dans l’expérience collaborateur ?

    Le rêve de toute enseigne : des équipes qui se soucient toujours des attentes de leurs clients et leur font vivre un moment d’exception. Pourquoi la réalité en est-elle si souvent éloignée, et surtout comment s’en rapprocher ? L’expérience collaborateur est une vraie piste à creuser…

     

     

    La symétrie des attentions vous connaissez ?

     

    Mais si : le principe selon lequel la qualité de la relation entre une entreprise et ses clients est symétrique à la qualité de la relation de cette entreprise avec ses collaborateurs.

     

    Selon Thierry Spencer, directeur de l’Académie du service, « Si un directeur de magasin ne salue pas ses employés en arrivant le matin, vous avez peu de chances que les vendeurs disent également bonjour aux clients. »

     

    Cette théorie de la symétrie des attentions fait le lien entre :

    • Bien-être et performance,
    • Motivation et chiffres,
    • Management et turnover.

     

    Pour un directeur de magasin on en comprend bien le principe, mais est-ce aussi simple entre un responsable de point de vente et son animateur régional qu’il ne voit qu’une fois toutes les 6 semaines ?

     

    Distance physique et proximité ressentie : une affaire de communication et d’identité commune.

     

    Est-ce que la distance physique entre un responsable de magasin et son manager génère une distance dans la relation client ?

    En réalité il convient de faire la différence entre proximité physique et proximité perçue. Celle-ci est directement liée, selon le modèle de la proximité perçue de O’leary, Wilson et Metiu, à la communication et à l’identité partagée. C’est donc en adaptant sa communication à son collaborateur qu’on l’incite à s’adapter aux attentes de son client. Et c’est en créant une identité forte pour son réseau qu’on aidera ses équipes terrain à véhiculer les valeurs de l’enseigne auprès de leurs clients.

    Mais si ce lien entre la place centrale du client et la communication managériale est avéré, comment la fluidifier dans un réseau où la distance s’invite dans l’équation ? Arnaud Deschamps, directeur général France de Nespresso dit à ce sujet :  » Mon rôle en tant que dirigeant est de mettre nos collaborateurs dans les meilleures conditions de performance, en leur offrant les bons outils de travail, l’autonomie nécessaire pour mener à bien un projet, la compréhension de la stratégie de la société…  » 

    5 astuces pour mettre l’expérience collaborateur au centre et ainsi soigner son expérience client :

    1/ Posez le cadre mais laissez la place à l’initiative (et donc à l’erreur)

    S’il est primordial de poser un cadre clair pour garantir l’homogénéité d’un réseau de points de vente, laisser une marge de manœuvre pour apporter sa plus-value et indispensable. C’est de cette façon que vous indiquerez aux équipes qu’elles ont de la valeur. (Et donc qu’elles montreront de l’estime pour leurs clients) Quant au risque d’erreurs, vous visez le zéro défaut ou les 100% clients satisfaits ?

     

    2/ Passez à l’exigence bienveillante

    La bienveillance est-elle une nouvelle mode managériale pour bisounours ? L’idée est plutôt de faire preuve de bienveillance avec les équipes tant qu’elles ne sortent pas du cadre mais de ne pas faire de concessions en dehors pour ne pas fragiliser la qualité de service et garder le contrôle sur l’image de l’enseigne.

     

    3/ Adaptez votre réseau au mode de travail des équipes terrain (et facilitez-leur la tâche)

    La communication réseau est rarement adaptée aux exigences du terrain. Lire ses mails toutes les 2h en caisse ? Répondre au téléphone quand il y a des clients ? Consulter l’intranet 4 fois par jour ? ce sont des choses possibles dans un bureau, mais pas en point de vente. Passer à un mode d’animation mobile, c’est garantir que les équipes s’adaptent elles aussi aux besoins de leurs clients.

     

    4/ Rompez l’isolement des équipes terrain

    La distance entre les points de vente d’un réseau crée aussi un isolement pour les responsables de ceux-ci. Créer de la cohésion en créant des communautés de pratiques aidera les équipes terrain à mieux partager leurs meilleures astuces et donc à s’améliorer et prendre confiance en leur savoir-faire.

     

    5/ Détectez les talents et mettez-les en situation de réussite (puis valorisez-les)

    Laisser la place à l’initiative est la première étape pour faire éclore les talents. Les détecter est la 2ème. Il convient ensuite de leur déléguer des missions et de les mettre en valeur. En créant ces référents régionaux spécialistes sur leur domaine, vous créez des pôles d’excellence qui ressortiront directement sur la satisfaction client.

     

    Si toutes ces actions vous permettent de mettre vos collaborateurs, et donc vos clients au cœur des attentions, il y a fort à parier qu’en gardant vos équipes plus longtemps vous fidéliserez également vos clients !

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Antoine GarbezBlog Idélink : actualités